La théorie de l'évolution!

La théorie de l’évolution

 

La théorie de l’évolution ! N’a-t-on jamais vu un singe devenir un homme ? Cela fait maintenant plus d’un siècle que nous vivons avec cette théorie particulièrement réductrice comme l’est par ailleurs la théorie de la relativité !

Et si l’on prenait le problème à l’envers au lieu de s’enferrer dans cet anthropomorphisme délirant ! L’homme en sa représentation s’adaptant à la biosphère en laquelle il se situe ! Mais cela effectivement briserait la loi des caciques des institutions scientifiques et de leurs prétendants ataviques !

Poursuivons le raisonnement, dans 4,5 milliards d’années notre système solaire aura disparu, la vie, je dis bien la vie aura depuis longtemps trouvé des planètes qui lui permettra d’affirmer sa réalité, et cette réalité cosmique, n’a-t-elle pas déjà trouvé sa source d’épanouissement en d’autres temps comme en d’autres lieux ?

Et dans le cadre de cette suggestion ne peut-on penser que nous sommes issus de cette volition ? Ainsi au même titre que ceux qui nous veulent descendre du singe pouvons-nous affirmer que la Vie s’est adaptée à cette planète et que ce que nous nommons l’humain, lui-même s’est adapté à sa réalité !

Et ce n’est pas faire injure que de le penser, injure aux pensants anthropomorphes qui veulent régir la pensée humaine, puisqu’en ce cas nous prenons le problème dans sa globalité et non dans une de ses singularités.

Il est temps me semble-t-il que l’humain s’éveille à sa condition, non celle de l’éternité en un lieu, mais de passant en un temps, mais bien évidemment les croyances consacrées viendront altérer ce propos au nom de prébendes et de cordonites, qu’importe, il en restera quelque chose pour la réflexion, l’esprit constructif et critique.

Les joyaux du savoir n’appartiennent à personne et surtout pas aux penseurs en rond qui dorment sur d’illégitimes lauriers. La Terre n’est pas tout, l’humain n’est pas issu de cette Terre, il vient des étoiles et retournera vers les étoiles, il est une poussière d’étoile, et composant du tout n’est pas emprisonné par une demeure, il y villégiature, s’y adapte et repart, performant d’un savoir et d’un équilibre.

Lorsque l’on considère ce postulat, qui a autant de viabilité que celui défendu par les anthropomorphes, on ne peut qu’être sidéré par la pauvreté du langage académique qui régit les lois scientifiques, regardons en face leur souci d’esclavage : nous serions issus du singe, nous ne pourrions dépasser la vitesse de la lumière, tout voyage dans l’espace nous contraindrait à un retour sur nos pas, en fait on ne fait pas mieux pour dire à l’humain, votre destin est là que vous le vouliez ou non et il faudra que vous fassiez avec.

Cette porte est ouverte sur l’asservissement le plus complet, c’est ce que dans d’autres termes on appellera le viol de la conscience collective !

Viol des foules permettant aux pouvoirs de gérer au mieux leurs intérêts les plus sordides. Que cette prétention se taise, il est temps, et surtout que celles et ceux qui travaillent sans relâche aux découvertes essentielles de notre univers, conquête de l’espace, conquête de l’infiniment petit, conquête de la vie, ne s’arrêtent au « Nom » de l’inquisition patentée de pseudoscientifiques qui légifèrent leur propre incapacité à comprendre l’univers tant il est facile de se reposer sur les découvertes antérieures et critiquer les découvertes du jour qui ne rentrent pas dans le carcan du passé piétinant !

Ce n’est qu’à ce prix que s’éclairera l’avenir, loin de cette obscurité asservie aux pouvoirs qui rêvent de voir l’humain sans devenir afin de mieux le manipuler !

© Vincent Thierry