Le monde de l'atrophie

Le monde de l’atrophie

 

Le monde de l’atrophie mentale avancée, à l’image du système subversif qui le régente, s’offre à nos regards dans toute sa dimension onirique. On pense rêver, mais ce n’est pas le cas. Il y a là quelque chose d’extraordinaire que de voir s’agiter les nains devenus, que l’on appelait autrefois des Êtres Humains, en tous sens pour satisfaire à l’outre perpétuellement vide de la créance, une créance sur la vie comme sur la mort se délectant de l’impuissance pour se couronner maîtresse de ce monde en proie à un sida générique qui se voudrait génétique.

Ici le mensonge est roi, payé par l’infamie, la forfaiture, la traîtrise, dédale convenant de l’ignorance qui se targue d’être le culte de cette aberration chromosomique qui irradie l’intégralité de notre petite terre, aberration ne voulant plus reconnaître la diversité Humaine, pour complaire à sa propre dérision, ce sur moi du déclin qui ne veut plus que le déclin, miroir sans fards qui renvoie l’image perverse de ce qui ne ressemble en aucun cas à l’Être Humain, à tout le moins à l’Homo Sapiens, mais à une branche révolue, par défaut, de la genèse des Êtres Humains, au plus au néandertalien primitif, une branche immature atrophiée et barbare dont la vie s’est séparée car inapte à la grandeur de l’épopée Humaine, et qui, tel le ver dans le fruit, ce jour ressurgit pour imposer sa volonté animale.

Tout cela dans la cacophonie glauque et sordide des tenants et aboutissants du désastre Humain que nous connaissons aujourd’hui ? Pas si sûr, en confrontation des racines de chacun que bien entendu le néandertalien se doit de taire, et taire pour tout le monde afin que surtout l’Homo Sapiens ne voit pas à quel point il est grugé par ce qui n’est pas de ses racines. Prenons mesure du phasme et de son importance dans la destruction de tout ce qui forge l’avenir de l’Humain, la science fourvoyée dans les nébuleuses de contes pour enfants, pillée et détournée au profit du mensonge, "écologie", "anthropologie", "physique", etc., les arts pervertis par l’inconsistance, la débilité profonde de l’ahurissement et ses satrapes, réduits aux arts "premiers", la philosophie réduite à l’expression de l’analité, la politique condamnée à la servilité de l’innommable, la religion bafouée par une pseudo-raison larvaire du truisme matérialiste le plus outrancier.

Quelle belle planète que celle-ci où la raison a disparu dans les venelles de cette atrophie, une atrophie arrogante, pompeuse, délétère et simiesque qui porte les fruits venimeux de son aperception, de cette concaténation rimant avec la stupidité, débauche d’un horizon inverse où se meut sa densité destructive. Regardons attentivement le parcours diachronique de cette éléphantesque infortune que nous jouent les représentants de cette infatuation bubonique de ce sur moi qui s’autorise.

En premier lieu, et comment en serait-il autrement, l’adoration perverse de la matière, de cet or chimérique qui conflue dans la monstruosité minérale ses pavots, ingrédients subliminaux d’une volonté de possession que rien ne peut arrêter, macrophage de la densité vivante assaillant tout à la fois pour récupérer une solidité inexistante, cette solidité de l’Être debout qui ne sied à la larve qui s’endeuille, prolifère comme le poison et en plus voudrait devenir maître d’œuvre.

On comprend mieux lorsqu’on découvre la pulsion primitive de ce qui se trame dans l’esprit de la larve qui se voudrait plus grosse que le bœuf, jalouse de cette filiation naturelle de la Vie qu’elle voudrait s’approprier mais qui en vérité lui échappera toujours et pour toujours. Ce réflexe aujourd’hui trouve toute sa mesure dans le déploiement de ses sous capacités, pauvres filaments tendus dans le néant qui voudraient domestiquer ce qui est non domesticable, la capacité à Être.

Nonobstant l’outrage constant, cette forme se reproduit par annihilation, dans ce mirage chtonien où beaucoup de nos contemporains se vautrent en croyant trouver un sens à la corruption qui les entraîne de plus en plus loin vers le déni de la Vie, une formidable usine à culpabilité qui les force à s’immoler à cette fenaison pourrissante qui ne peut se rêver qu’au milieu du prurit de l’indécence, de la compromission, de toutes ces transes inventées par la lâcheté et ses arguties triviales. Ne cherchez de l’honneur dans ce marais, il n’y en a pas !

La putridité y est telle qu’aucun existant vivant ne peut y faire son nid, sinon qu’en s’arrangeant avec sa conscience de l’infection pandémique qui y règne, et de laquelle il subit tous les outrages avant que d’y succomber invariablement. Alors face à cette éponge de l’inconsistance, de l’illusion, que peut faire l’Humain me direz-vous ? Tout simplement Être, debout au milieu des ruines de ce qui ne lui appartient pas, désintégration d’une non-création qui n’a pas lieu de se faire valoir, face à la réalité souveraine, unir le vivant dans tout ce qu’il comporte de diversités, afin de dévoiler sa densité, ses racines, ses cultures, ses forces endormies, biologiques, psychiques, intellectuelles, spirituelles, pour petit à petit, lentement mais sûrement phagocyter ce système en dérive, implanter les maillons qui permettront de créer ce sur système naturel qui emportera dans la poussière l’usurpation, le coup d’État permanent, le mensonge associé à l’ignorance, par toutes voies Humaines.

Ici convient-il de comprendre que ce juste combat se mène en tous opérandes, qu’ils soient discrets, secrets, apparents. L’exemple de l’apparent est ici majeur, tout un chacun doit investir tout mouvement politique quel qu’il soit afin de le nettoyer des pentes idéologiques issues de l’atrophie, ces musaraignes que l’on appelle le communisme, le socialisme, le libéralisme, tous ces "isme" nés de cerveaux délités de la réalité, qui ne voient dans l’Être Humain qu’une unité économique, larve à genoux devant les larves, ces tueurs nés de la réalité Humaine qui dépasse tout ce qu’ils pourraient imaginer dans un seul de leur rêve s’ils savaient rêver.

Image donc à multiplier dans toutes les strates associatives, de pensées, jusqu’à la dernière cohésion pouvant exister afin de nettoyer l’esprit subversif qui y règne, cette subversion à l’encontre de l’Être Humain voyant l’atrophie se déclarer maîtresse de ce petit monde, décimer les cultures, violer les identités, désintégrer les Nations, par une sous-culture née du pourrissement intellectuel, ce sida tentant à son image de vouloir réaliser dans l’abstraction, le métissage, l’annihilation de toute forme créative, sida allant encore bien plus loin, préparant le génocide de l’homo sapiens, en toute légalité par l’intermédiaire du mensonge institutionnalisé, dont les directives sont fomentées par les institutions internationales totalement phagocytées par la lèpre : ONU, OMS, OMC, FMI, etc.

Le virus H1N1 fabriqué de toutes pièces par un certain laboratoire de multiples fois dénoncé, n’est qu’un pâle exemple de ce que prépare cette théurgie de la destruction si nous n’y prenons garde. À cet effet, refusez systématiquement toute vaccination, pour vos proches comme pour vous-mêmes, les vaccins bourrés de scalènes et de mercure n’étant pas là pour prévenir de prétendues pandémies mais bien pour vous détruire, à tout le moins vous dérégler nerveusement, où vous rendre stérile, ne vous nourrissez d’aucun plat que vous n’auriez préparé, l’aspartate, produit cancérigène y étant dilué sans retenue, ne buvez que de l’eau bouillie, nettoyée du fluor qui est source d’intoxication dramatique. Conjointement essayez autant que faire se peut de vous soigner par les plantes, ou bien par des médecines parallèles, et lorsqu’on vous donne une ordonnance lisez bien les effets secondaires des médicaments qu’elle comporte qui vous permettront peut-être de demander des produits moins nocifs.

Les tueurs sont à l’ouvrage pour assassiner nos Peuples, l’Humanité, par l’empoisonnement de la nourriture, de l’eau, des vaccinations inutiles entraînant mort, stérilité, troubles neuroniques, voilà où en est l’atrophie qui se voudrait gouvernance. Son rêve eugéniste est de voir stagner une population hybride à cinq cents millions d’esclaves et détruire les six milliards et demi d’Êtres Humains restant qui lui fait peur, car elle ne peut imposer son autorité sur la quantité, cette quantité qui est la force Humaine, nécessaire dans le sens de la Voie à l’exploration spatiale, la conquête de notre système solaire puis de notre galaxie, voie dont elle ne veut pas car elle-même défendant la désintégration de cette voie afin de régner sur la virtualité, cette virtualité qui assaille chaque espace comme chaque temps de tout un chacun afin d’égarer l’Humain de son devenir.

Nous en sommes là de cette aberration qui tue sans limite, les peuples en voie de développement en leur imposant une "écologie" stérile, les peuples développés en arasant leur intelligence en insinuant le mélodrame d’une culpabilité inexistante, nous en sommes là de cette atrophie qui s’autocouronne désormais sans que personne ne bouge. Et si personne ne bouge, actuellement, c’est tout simplement que tout un chacun ne connaît pas la force de ce qu’il représente dans la quantité, une quantité de milliards d’Êtres Humains qui, rescapés de la perte d’intelligence, est en capacité de soulever des montagnes, abstraire ces quelques milliers qui cherchent à les réduire à la poussière qui se veulent dominants dans la seconde.

Le vrai contre-pouvoir à ce coup d’État auquel nous assistons est là, et nulle part ailleurs. Que six milliards d’Êtres Humains se lèvent comme un seul homme et il ne restera rien, strictement rien de ce système virtuel qui cherche à les réduire en esclavage. Ce n’est qu’une question de volonté et de désir d’avenir, un avenir qui portera l’Humain au-delà de cette petite planète, dans ces étoiles qui l’attendent.

Face à la terreur insinuée il faut répondre par une unité globale du réel et forger le contre système qui se séparera de l’anéantissement qui se prépare, du génocide de l’Humanité par l’atrophie. Certains Pays se sont déjà émancipés de cette torpeur, d’autres suivront, et bientôt tous les Peuples de tous les Pays qui n’ont pas à être réduits à l’esclavage par cette atrophie mutilante.

Car la force de la Vie c’est sa multiplicité, sa diversité, et cette force vaincra obligatoirement l’euthanasie matricielle que nous vivons actuellement. Ce n’est qu’une question de temps, de volonté, et d’union avec la réalité par tout un chacun à travers ce petit monde.

© Vincent Thierry