Réquisitoire

Réquisitoire

 

Disait-il alors que les voies de la guerre s’ouvraient :

« Des rives de ce temps, le signe viendra des cœurs en floralies, l’opale des sites vertueux initiant ce monde à sa renaissance, au-delà de la promiscuité vagabonde, au-delà des anomies labiales et labellisées, au-delà des paresses noctambules qui sont la risée des univers, et le feu balaiera, immense, la nature même du délit, ce délit de la mort, inexistante, tronquant l'étole du serment pour des gloires naines, des respires incongrus, toutes failles dans la temporalité voyant l'humain broyé par le joug d'un fardeau dément, celui de l'accroire, de l'impermanence, de la fatuité comme la vanité accouplée, visant un règne où se mêlent les esclaves pour adorer leurs maîtres, clameur dans la nue des errances propices où se vend la chair au principe de sa détention monétaire, dans une dénature propre à toute démesure, instituant le viol de l'innocence se gargarisant de la détresse et des hurlements des Êtres dans un sadisme congénital né de l'atrophie la plus bestiale.

Où le sens n'a plus de sens, effacé par le souffle qui explose ses délires opiacés, dans une écume de sang, dans une écume de sueur, dans une écume puant la mort des corps et ses lubies vénéneuses, dans ce monde sans lumière dont la lumière viendra terrasser l’ignominie, car la lumière ne peut être éteinte, qu'on se le dise, et cette lumière franchira ces portiques de l'enfer, brisant ses chaînes dans un cri souverain, hâtant le précipice du néant, sans haine, conjuguant le droit universel de la Vie pour juger et déférer, ôter de la vie ces scories dont l'insolence est la déviance de tout ce que l'on peut imaginer dans la noirceur, un jugement terrible pour ces miasmes qui tels des parasites sont le cancer du vivant, prolégomènes du sida intellectuel qu'ils traînent à grand renfort de publicité, de délitement de la perception, néant qui s'avance et sera vaincu quoi qu'il en soit, tant son ombre est faisandée par toutes les bassesses, par tous les bubons cristallisant la démence.

Si visible dans le regard torve, la moue libidineuse, l'indécence putride, la tenue voûtée, métastase au prurit répugnant ayant pour désir de se hisser par la médiocrité au sommet de la médiocrité pour enfanter ses crimes, la mise en esclavage de l'humanité, la dilution dans le genre de l'homme comme de la femme, la destruction de la famille, la destruction de tout pour complaire à son profit dantesque, voyant à son comble cette race naine accumuler tant et tant que son jeu devient de ses amas, le beau jeu que celui-ci, d'une stupidité conjoignant l'égarement le moins subtil, si visible dans ses reflets, ses parterres, ses décisions, un jeu de dupe où les peuples sont les pions, la famine l'une des règles, la guerre une autre de ses règles, la dictature le méat de ces règles, un agencement construit sur le vent, ce vent de la monnaie qui n'est que le conte de l'usure, une monnaie sans étalon se multipliant à l'infini pour deviser la richesse de celles et de ceux qui en font commerce, un commerce de sang lavé dans le sang et par le sang par toute la débilité mentale qui s'accroît.

Au crétinisme additionnel, la consanguinité de facto, toutes ces morves se congratulant, hissant le mensonge comme draperie de leur crime, ce crime envers l'humanité pour lequel ils seront déférés devant les tribunaux des Peuples pour rendre compte de leur perversité dantesque, et que l'on ne pense les voir juger à la sauvette et pendus haut et court, que non, les Peuples ne feront martyrs de ces oligarques de la puanteur, ils seront tout simplement relégués, exilés, et leurs fourbes menstrues, ces politiques ridicules tout simplement écartés de tout pouvoir dans l'ignominie qui est leur maître à danser, et les homoncules des sectes qui les agitent, eux seront déchus de tout droit civique, entendu que leurs avoirs issus du viol des Peuples seront remis aux Peuples de cette terre martyre de leur insanité, ainsi ce jugement viendra où les criminels quoi qu'il en soit seront condamnés à mort, les assassins, les mercenaires, les pédophiles et les violeurs, cette armée de ces miasmes, toute cette lie humaine dont l'humanité se séparera à jamais afin que les enfants, l'avenir de ce monde, ne soient plus l'objet de la démence de leur asile de fou sévissant en chaque Nation.

Ainsi la désintégration de ce fumier suivra, le monde se trouvera régénéré, ses institutions nettoyées de la pourriture et de la lèpre des sectes, des sociétés dites de pensée, tout ce monticule devant disparaître à jamais dans la poubelle de l'Histoire, l'Histoire n'étant pas celle des sectes mais de la Vie, de ses floralies, savoir l'Humanité, ses Races, ses Peuples, ses Ethnies, et piliers de toutes civilisations, ses Nations, ses Identités, ses forces vitales nées des familles voyant unis la Femme et l'Homme pour l'éternité, dans le respect de la jeunesse comme de la vieillesse, statuant sur les degrés de l'avortement, comme sur les degrés volontaires de l'euthanasie des corps, aucune loi ne pouvant aller à l'encontre de la Vie, comme aucune loi ne pouvant aller à l'encontre de la nature de la Vie, voyant ainsi se dresser dans l'azur ce drapeau magnifique des Peuples alliés dont l'intelligence se multipliera et non se désintégrera.

Dont l'intelligence se manifestera au-delà des prédations de l'agonie et de ses licteurs, à peine un petit million de personnes de par ce monde dont les tendances sociopathes, meurtrières, ne sont plus à démontrer, racines de ce mal servant l'esclavagisme le plus pulvérulent, le plus dramatique, le plus sournois, le plus éhonté, dont les béquilles sont le mensonge et l'hypocrisie, sœurs de l'ignorance et de la propagande, telle qu’on les voit pratiquer dans cette guerre inique contre une Nation souveraine, n’ayant pour profit que la mise en esclavage de son Peuple pour asservir ses ressources primaires et surtout faire passer un pipeline permettant de concurrencer une autre Nation, et bien entendu pour préserver l’échange étalon des ventes pétrolières afin que ne se noie une monnaie qui ne vaut rien, strictement rien comme toute monnaie dans ce monde dégénéré, en proie à l’abomination de licteurs en cartels inhumains rugissant leur atrophie. Cela sera et vient… »

Disait-il en professant aux Peuples dans un seul bloc de se défaire de leurs outrages, de leurs démoniaques langueurs, de la subversion les immolant, cette usure les contrôlant, afin de renaître à la Liberté qui ne se vend pas, ne se corrompt pas, car capital génétique de notre Humanité dans ses diversités…

© Vincent Thierry