La haine de la l’usure

La haine de la l’usure

 

Petites nouvelles de cette petite terre où s’affrontent en France deux visions du monde, un monde unipolaire esclavagiste et un monde multipolaire libre, mais lisons :

« La haine incarnée de la France vient de faire son discours à Marseille, révélant sa débauche illuministe, son mondialisme de la boue, son mondialisme de la plèbe, de l’esclavagisme. Dans l’ignorance totale de l’Histoire de France, ce personnage sorti de la publicité des sectes, marche vers l’outrage, la perversion, la déchéance, la félonie, la traîtrise, l’ordure incommensurable qui baigne les fronts baptismaux des renégats, de cette ardeur de la destruction, de la division, de l’épanchement de la haine du soi que l’on porte vers les autres, et notamment du Peuple de France, quelle que soit la couleur de ses habitants, quelle que soit  la religion de ses habitants, quelle que soit l‘identité sexuelle de ses habitants. Ne vous y trompez pas, ce discours n’est pas celui de l’Universalité mais bien de la boue universaliste voulant transformer chaque Être Humain en zombi, en cette chose malléable à souhait qui deviendra l’esclave parfait de la médiocrité, de cette médiocrité qui transpire dans chaque parole de cet assoiffé de pouvoir, de ce ridicule homoncule qui ploie sous l’édifice de la répugnance, celle qui le porte, l’usure et les usuriers, ces vestiges qui dans le cadre de la multipolarité disparaîtront comme ils sont venus, dans les sables arides de leur perversion et de leur lubie.

Au-delà du discours, on retiendra que cet individu qui masque son enrichissement, qui conchie la France, n’est qu’une marque de savonnette qui pue la dérision, cet enfantement du courtisan, de la plèbe que l’on qualifie d’en haut, retorse et dangereuse, d’un danger que chaque Être Humain doit soupeser, menant vers les ténèbres et l’obscurcissement de la pensée humaine, car il n’y a pas de pensée dans cette tragédie, sinon que la pensée du profit, du profit qui a été secoué aux États-Unis, du profit qui a été liquidé en Russie comme en Chine, du profit insalubre, celui de la marchandisation et de la mise en esclavage de l’Être Humain. Pour se faire bien entendu cette foutaise idéologique a besoin de noyer tous les esprits dans la même contrainte, dans la disparition de leur existence, pour monopoliser le droit subjectif de profiter de la chose devenue, à titre économique ou bien sexuel, jusqu’à l’immondice, la pédophilie qui est la tare de ces dégénérés qui veulent à tout prix coordonner leur essor pour mettre en coupe réglée la planète. 

Ce qui se joue actuellement dans cette élection n’est pas une guerre entre faction, mais une guerre idéologique globale, voulant décimer la réalité au profit d’une virtualité de façade où la terreur sera accomplissement, une terreur totalement manipulée, une terreur dont on a vu les effets dans le cadre de ce terrorisme qui à n’en pas douter est le fruit de la pensée de ces menaces pour l’humanité, de ces dangers qui ne méritent que la cour pénale internationale pour tentative de génocide des Peuples, et aujourd’hui génocide du Peuple de France. Pour se faire, l’artillerie lourde du pouvoir réel en France, usurpé par une maçonnerie de pacotille, usurpé par des sectes ovipares atlantistes, se met en branle, conchiant le Peuple, conchiant l’Être Humain, conchiant la nature même de l’Histoire de notre Nation, conchiant, dans une acculturation extrême, parfaitement instrumentalisée afin de faire perdre tous repères, conchiant la Vie au profit du négoce marchand de l’Humain dont le représentant, égosille les ressorts. Un représentant né de la pourriture et de la moisissure de l’Esprit qui le rejoint avec empressement, ne voyant que l’intérêt particulier au mépris de l’intérêt général, une pourriture asphyxiante qui a mené notre Nation aux termes, là, dans ce lieu particulier où elle doit renaître ou périr.

Car il s’agit aujourd’hui dans cette élection de voter pour sa disparition ou bien sa renaissance, et c’est bien pour cela que les tenants et aboutissants de la désintégration deviennent les ventres hurleurs, assénant leurs logorrhées de domestiques, hissant leur drapeau de la fourberie, de la bêtise et de la médiocrité. Il est temps pour tout un chacun de voir que la menace qui pèse sur notre Nation, sur notre rayonnement, sur nos Culture, - eh oui, il y a une culture Française, n’en déplaise aux immondices parrainés par toute la boue de l’Humanité, déviants sexuels, pédophiles, affairistes, voleurs, violeurs, cannibales de toute réalité - , sur notre devenir. Car en leur vœu ne l’oublions pas, il n’y a pas d’avenir pour la France comme pour son Peuple qui doit disparaître dans le limon stérile de leur volonté, cette boue lubrique qui les tient par la cocaïne et tous ses dérivés, cette boue lubrique qui est l’enfantement de la puanteur qui renie l’avenir au profit de l’instant, de cet instant critique qui viole la réalité, qui viole le sens humain, qui viole la fécondité humaine, qui viole l’esprit comme l’âme comme le corps pour asservir et asservir encore à la lie, au marais putride dans lequel se vautrent ses incandescences, dans la vanité d’accroire alors que leur vernis ne représente que la pourriture qui exerce, une pourriture entachée par le meurtre, le vice, la copulation étrange des œuvres bestiales qui en sont règnes. 

Ce pourrissoir vient de livrer l’éventail de son parjure, la haine brutale, totale envers l’existence, envers les branches et les rameaux Humains, envers la grandeur de la complémentarité, envers l’honneur et le droit de la Vie. Une haine profonde née de l’incapacité pour ces êtres de se révéler, une incapacité fournie par une éducation tronquée, bestiaire de la lie qui s’évoque et s’invoque, une incapacité tragique dont les reîtres sont les féaux d’un esclavage discordant à la matière la plus ténébreuse qui soit, enhardie par leur vice, enhardie par la pacotille qui ne trompe que les idiots, ces bretteurs payés pour applaudir, ces minables suivants les injonctions sur leur téléphone pour se branler devant la scène de cet appauvrissement de toute réalité. Ne vous y trompez, ici, dans ce lieu, dans cette oraison de la bestialité se tient l’immondice qui voudrait altérer toutes facultés, par contrats de frappes, par contrats d’applaudissements, un vide incommensurable qui permet l’accroire mais ne trompe personne, et certainement pas, comme on l’a vue en Guyane, notre Département, et non une île – ce qui prouve le degré de bassesse de l’intelligence de cette chose portée par l’usure,  où une salle presque vide, s’est vidée au fur et à mesure du discours de l’« orateur » -, des Françaises et des Français qui croulent sous la dilapidation des fonds publics par l’hétérogène bestialité qui règne dans le pouvoir actuel.

Le comble est atteint pour cette litanie de la dégueulasserie, de l’obésité de la médiocrité, chacun ici désormais devrait savoir à quoi s’en tenir pour balayer cette immondice, ce gruau qui ose parler de patriotisme, alors qu’il en est l’inverse valeur, alors qu’il est esclavagiste, petit pion de la lie de l’humanité qui se réfugie dans le giron de ce faux parti, de cette arme du bolchevisme puant qui continue à régner, de cette franc-maçonnerie de la fripouille qui usurpe tous les pouvoirs en France, assistés par les sectes atlantistes qui contrairement à la Russie s’immiscent totalement dans notre élection, pour preuve l’appartenance de la chose comme du président actuel à ce barbarisme que l’on nomme la fondation franco américaine, repaire de toute l’usure et ses arcanes, tandis que les médias aux ordres aboient, comme des hyènes à l’encontre du vrai patriotisme. Cette puanteur chronique doit être renversée par un vote de salubrité publique. Le Peuple n’est pas un enfant après plus de deux mille d’histoire, et doit remettre à sa place ce néant intellectuel qui s’avance en injuriant, calomniant, n’ayant pour seul désir et ordre de mission que de détruire totalement notre Nation.  Prenez la mesure de cette situation à trois semaines du premier tour, et balayez cette ineptie, ce tueur de votre Nation, de votre Peuple, de votre Histoire!»

Espérons que le Peuple de France se réveille du conditionnement de la plèbe d’en haut, et renaisse, seule condition de l’évolution dans ce monde.

© Vincent Thierry