Liberté d’expression

Liberté d’expression

Voici donc le temps venu où la médiocrité lâche, servile, dans un racisme piteux, larvaire, et inique, veut bafouer le droit d’expression de tout un chacun, pour masquer ses crimes, ses vols, ses dols, sa dépravation sexuelle, sa désorientation de chose se lovant dans la fange et pire que cela, pour se complaire et se croire l’élite de ce monde.

Voici donc le temps venu dans ce pays de France, ayant porté le sacre de la Liberté, l’immolant sous le joug de la barbarie la plus glauque, d’une acculturation crasseuse, d’un illettrisme constant, marques s’il en fallait de la déstructuration mentale la plus avancée et la plus témoignée, ravissant la beauté pour imposer la hideur et ses serments.

Voici donc venu le temps où le silence s’imposerait pour que ne soit dénoncée l’ordure qui souille la Nation jusqu’en ses latrines, au nom de l’anachronisme purulent, du déchaînement atavique de la haine de quelques personnages sans raison qui veulent voir briller leur folie comme un phare sur nos terres ancestrales qui ne leur doivent rien.

Voici donc venu le temps où l’esprit ne peut plus exalter ses promesses, où seul compte un corps informe, ruisselant de vermine et d’oripeaux, un corps interchangeable et piloté par la dimension du crime, l’ordonnance du crime, via la putréfaction de l’intelligence qui se veut complexe de la pourriture qui s’anime dans le vide sidéral.

Voici donc venu le temps où les sectes immondes se protègent du souffle d’une vérité qu’elles ne veulent pas voir, qu’elles appréhendent, qu’elles cherchent par tous les moyens, y compris criminels, à taire, afin de s’imaginer attraire les foules dans leur marais sordide puant les cadavres des enfants innocents qu’elles violent et tuent dans l’horreur absolue.

Voici donc venu le temps qui charrie ses invectives en provenance du seul statut de la pensée unique, sectaire, raciste, anticatholique, antisémite, antimusulmane, antibouddhiste, seul comptant pour les espèces de sa faune le matérialisme le plus répugnant qui soit, la reptation dans sa tourbe et la désintégration devant ses immondices.

Voici donc venu le temps des assassins de la pensée, après le temps des assassins des corps usant et abusant du génocide comme on l’a si bien vu dans le cadre d’une pseudo-pandémie, le génocide des anciens qui ne s’en laissent remontrer par les turpitudes, les velléités, de l’inintelligence comme de l’hystérie, qui sont les mamelles de l’apanage du néant.

Voici donc venu le temps de ce néant qui brille ses exhalaisons fétides par les miroirs de la parole, de l’écrit, de la cinématographie, des écrans de télévision, des ondes radios, où le néant se presse pour gesticuler sa haine du Vivant, sa haine sans gloire de tout ce qui ne ressemble pas à sa liquéfaction comme à ses prononciations.

Voici venu le temps des abysses, le temps des avens, le temps des abîmes où seuls auront donc droit de s’exprimer de pitoyables créatures agenouillées dans le vice, la haine de leur prochain, de pauvres songes édulcorés par la bestialité qui les enrobe et les perpétue dans un atavisme non de circonstance mais de dénature profonde.

Voici venu le temps de la diarrhée prononçant non seulement le néant mais pire que le néant, le rien, condition sine qua non de l’existence de ce qui n’est rien, ne pense pas, n’imagine aucun avenir, n’est qu’un réceptacle de la jouissance du rien, coordonnée et abscisse de la répugnance qui se veut gloire alors qu’elle n'est que poussière éphémère.

Voici venu le temps des nécrophages, des anthropophages, de cette sous-humanité se déifiant face à la raison, face à l’imagination, face à la source de toute élévation, qu’elle ne peut condescendre à exister, car cela prouverait sa forfaiture, sa trahison, sa concupiscence destructrice, sa sous bestialité érigée en monument par la glose soustraite en génuflexion.

Voici le temps où se taire lui-même deviendra un délit, car il faut applaudir au joug, à la déliquescence humaine compissant les êtres Humains, il faut applaudir leurs assassins, violeurs et voleurs, corrompus et vendus qui parce qu’ils ou elles ont les pieds en équerre, dévoyant la maçonnerie, ils s’imaginent au-dessus des lois humaines.

Voici le temps de la bestialité et de ses rimes, et l’Humain devant tout cela, l’Humain ne se laisse détourner de la Vie et de son souci d’élévation, délaissant cette bestialité, s’élève pour faire prospérer l’expression jusqu’à son aboutissement, qui verra la liquéfaction de cette atteinte à la liberté fondamentale de tout être Humain, le Verbe.

Car le temps n’est pas la propriété de la bêtise, de ses ornements, de ses organdis, de ses fallacieuses destinations, de l’accroire et de ses scories, le temps étant variable à l’infini et le temps de l’un n’étant pas le temps de l’autre, et permettant à chacun de s'exprimer dans ces oasis impénétrables pour la pourriture et ses écrins sordides.

Des temps multiples qui officient, s’unissent par les énergies du Verbe qui se façonne et ne tient compte de la moindre chaîne qui voudrait l’isoler, le destituer, car le Verbe est éternel et rien de ce petit monde de la matière ne pourrait le soustraire à son éloquence, à sa grandeur, à son honneur imprescriptible et à sa beauté sur dimensionnelle.

Ainsi que des lois sous humaine s’amusent à vouloir l’obérer, déjà il est plus fort, plus dense, plus ferme, et dans sa destination comme dans son accomplissement, et que l’on se rassure, jamais il ne sera terrassé, l’esprit soufflant où il veut, là où on l’attend le moins, et ce ne seront les prisons et les corvées de bois qui arrêteront sa marche inexpugnable.

Plus que jamais, devant l’adversité de la bestialité, le Verbe se dresse, jamais ne s'adapte, jamais ne fléchit, jamais ne se laisse entraîner dans les dérives de la haine que ses ennemis vicieux, répugnants, pervers, glauques, criminels, cherchent à lui faire connaître, leur connaissance n’étant que le fruit de la reptation à ce qui n’est pas lumineux.

Une Lumière qui brille jusqu’au tréfonds des caveaux et qui toujours palpite l’horizon de l’Humain qui doit en naître la saison par-delà les aberrations mentales sinuées par la matière brute cherchant désespérément à s’accroire, alors qu’elle n’est que l’ombre de l’ombre dont doit s’écarter l’Humain pour accéder à la plénitude.

 

Ainsi, rien, ni personne, ne pourra taire le Verbe, et en aucun cas la barbarie qui s’imagine écrin alors qu’elle n’est qu’avanie qui se baptise, loque sempiternelle des pleureurs qui s’imaginent tout alors qu’ils ne sont rien, et resteront des riens tant qu’ils n’auront pas compris le sens du Verbe et de ses floralies majestueuses.

Que nul ne peut taire, que nul ne peut corrompre, que nul de par ses lois ne peut immoler, sauf à détruire toute existence sur cette petite Terre, chaque vivant disposant de l’étincelle de cette lumière lui permettant d’agir et réagir face au déclin, face à l'abîme, face aux hordes de l’intelligence désintégrée qui ruisselle de sang.

Qui ruisselle de cette boue qu’elles voudraient le lot commun de tout être par ce champ d’action qu’est ce monde, que tout être combattra jusqu’à son dernier souffle pour anéantir sa portée, sa dislocation, sa haine, son racisme totalitaire, sa médiocrité, sans se forcer, l’instinct de survie étant plus fort que toute déraison cherchant à le disloquer.

Cet instinct noble et précieux, issu de la rémanence formelle des Ethnies, des Peuples, des Races, de l’Humanité, qui ne pliera jamais devant la portée de la subversion déracinée qui glose son importance qui n’est que fixation dans les ténèbres, ces ténèbres où l’ordure prospère, où le giton se féconde et se laisse mener en pâture.

Ainsi car le Verbe n’est pas à vendre, il n’est pas le prostitué de la décadence, de l’indécence, de l’ignominie, de la trahison, de la bestialité et ses aréopages, de toute cette infection que porte la Terre comme une moisissure par tous les pouvoirs qui ne se respectent pas et ne respectent personne en dehors d’eux-mêmes.

Des pouvoirs de nains dont les lois n’existent pas pour l’Esprit qui vogue au-dessus de leur fange, de leur misère intellectuelle, physique et spirituelle, de leurs béquilles qu’ils s’inventent pour marcher, de pseudos intelligences artificielles détournées de leur but pour asseoir leur piédestal instable d’où ils seront chassés inévitablement.

Car l’on ne peut ainsi poursuivre dans le néant, on ne peut s’induire ainsi sans qu’un jour se dressent les êtres que l’on cherche à détruire dans leur aristocrate condition, par un racisme fourbe, par une mésintelligence dramatique, par ce fangeux langage de la reptation accouplée à l’indigence qui est la formalisation de la destruction.

Ainsi le Verbe, n’en déplaise aux légistes de pacotilles, poursuit sa route et la poursuivra indéfiniment, car rien ni personne ne pourra l’enchaîner, car il est au plus secret de l’être, il est l’être et rejette le pavlovisme comme l’enchaînement, car il vogue au-dessus des eaux qu’elles soient tempétueuses ou calmes, et toujours vainc.

© Vincent Thierry