Information capitale

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« Olivier Serva, député de Guadeloupe, a annoncé que plusieurs mesures ont été négociées pour une sortie de crise sur l'île. Dont l'accès à des vaccins non-ARN pour les soignants et des reclassements pour ceux qui refusent le vaccin. Invité sur RMC le 23 novembre, Olivier Serva, député La République en Marche (LREM) de Guadeloupe et président de la délégation aux Outre-Mer à l'Assemblée, a annoncé que plusieurs mesures ont été obtenues pour une sortie de crise en Guadeloupe. Ainsi d'une part, selon le député, «aucun pompier ne sera suspendu et pour ceux pas encore vaccinés, ils pourront faire un test PCR gratuit toutes les 72 heures».

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/92913-vaccins-non-arn-reclassements-pour-soignants-concessions-gouvernement-guadeloupe »

Ici je pense à toutes celles et ceux qui ont subi une thérapie génique à base d’adénovirus, par choix devant la contrainte gouvernementale, notamment pour son suivi dans les hôpitaux, et en aucun cas d’arnm. Le gouvernement vient d’accorder l’accès aux vaccins non arnm dans le département de Guadeloupe, il ne peut donc désormais faire valoir une dose de rappel à base d’arnm comme il le déclame via ses organismes de santé. Il est temps pour tous les « vaccinés » Janssen, et autres, en dehors de tout arnm, de manifester pour faire valoir leur droit au choix, et ne pas tomber dans l’outrance et l’ukase présentés au titre de la dose de rappel. Un collectif doit se créer et conjointement les Parlementaires qui ne sont pas vendus à certains laboratoires doivent faire changer les termes concernant le passe sanitaire, qui ne se lit qu’en fonction d‘une dose de rappel arnm. Il est inadmissible que celles et ceux qui ont choisi l’adénovirus contre l’arnm servent d’animaux de laboratoires pour le plaisir d’un seul de ces laboratoires dont la thérapie est innefficace, comme le prouvent les entrées de ses doubles et triples doses dans les hôpitaux ou soignés chez eux, le corps médical ayant interdiction de parler des ravages occasionnés par l’arnm, y compris dans le cadre des effets secondaires. Tout un chacun des vaccinés non arnm doivent écrire à la Haute autorité de Santé pour faire valoir ses droit, avec double de ce courrier si possible à son avocat. L’horreur n’a pas de limites, et ici se trouvent les fondements de l’horreur, que de voir, dans le viol total du consentement celles et ceux qui n’ont pas choisi l’arnm devoir subir en sus de la thérapie d’adénovirus, la thérapie de l’arnm en dose de rappel. Le Département de la Guadeloupe a obtenu gain de cause, tous les Départements doivent l’obtenir sans exception. Ce d’autant plus que le vaccin classique Valneva vient d’obtenir les autorisations de la Commission Européenne pour sa mise sur le marché.

https://www.has-sante.fr/jcms/c_1738681/fr/solliciter-la-has

https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/fr/ip_21_5784

« Commission européenne - Communiqué de presse Coronavirus: la Commission approuve un contrat avec Valneva en vue de se procurer un nouveau vaccin potentiel Bruxelles, le 10 novembre 2021 La Commission européenne a aujourd'hui approuvé le huitième contrat avec une entreprise pharmaceutique en vue de l'achat de son vaccin potentiel contre la COVID-19. Le contrat avec Valneva prévoit la possibilité pour tous les États membres de l'Union d'acheter près de 27 millions de doses en 2022. Il prévoit aussi la possibilité d'adapter le vaccin aux nouvelles souches et permettra aux États membres de commander jusqu'à 33 millions de vaccins supplémentaires en 2023. Le contrat avec Valneva vient grossir les rangs d'un portefeuille déjà large et sécurisé de vaccins à produire en Europe, qui comprend les contrats déjà signés avec AstraZeneca, Sanofi-GSK, Janssen Pharmaceutica NV, BioNtech-Pfizer, CureVac, Moderna et Novavax. Ce portefeuille diversifié de vaccins permettra à l'Europe d'être bien préparée à la vaccination, une fois que l'innocuité et l'efficacité des vaccins auront été prouvées. Les États membres pourraient décider de faire don du vaccin aux pays à revenu faible et intermédiaire ou de le réorienter vers d'autres pays européens. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré: «Le contrat permet d'adapter le vaccin aux nouveaux variants. Notre vaste portefeuille nous aidera à lutter contre la COVID et ses variants en Europe et au-delà. La pandémie n'est pas terminée. Tous ceux qui le peuvent devraient se faire vacciner.» Stella Kyriakides, commissaire à la santé et à la sécurité alimentaire, s'est exprimée en ces termes: «Notre stratégie de l'Union concernant les vaccins continue de produire des résultats, alors que le nombre de cas de COVID-19 est malheureusement de nouveau en hausse dans l'ensemble de l'UE. Le vaccin Valneva ajoute une autre option à notre vaste portefeuille, une fois que son innocuité et son efficacité auront été prouvées par l'Agence européenne des médicaments. Nous continuons à soutenir les États membres dans leurs efforts de vaccination et le message reste le même: faites confiance à la science et vaccinez, vaccinez et vaccinez.» Valneva est une société européenne de biotechnologie qui met au point un vaccin à virus inactivé, à partir d'un virus vivant inactivé au moyen d'un traitement chimique. Il s'agit d'une technologie vaccinale traditionnelle, utilisée depuis 60 à 70 ans, dont les méthodes sont éprouvées et qui bénéficie d'un niveau élevé de sécurité. La plupart des vaccins contre la grippe et de nombreux vaccins destinés aux enfants utilisent cette technologie. À l'heure actuelle, c'est le seul candidat vaccin à virus inactivé à faire l'objet d'essais cliniques contre la COVID-19 en Europe. La Commission, avec l'appui des États membres de l'Union, a décidé de soutenir ce vaccin sur la base d'une évaluation scientifique solide, de la technologie utilisée, de l'expérience acquise par la société en matière de développement de vaccins et de sa capacité de production, qui lui permettra d'approvisionner tous les États membres. Contexte La Commission européenne a présenté, le 17 juin 2020, une stratégie européenne visant à accélérer le développement, la fabrication et le déploiement de vaccins efficaces et sûrs contre la COVID-19. En échange du droit d'acheter un nombre défini de doses de vaccin dans un délai donné, la Commission finance une partie des investissements initiaux engagés par les producteurs de vaccins, sous la forme de contrats d'achat anticipé. Face aux variants actuels et nouveaux du SARS-CoV-2, la Commission et les États membres négocient de nouveaux accords avec des entreprises fournissant déjà des vaccins faisant partie du portefeuille de l'Union, accords qui permettraient d'acheter rapidement et en quantité suffisante des vaccins adaptés pour renforcer et prolonger l'immunité. Pour acheter les nouveaux vaccins, les États membres peuvent utiliser le paquet REACT-UE, l'un des programmes les plus importants au titre du nouvel instrument «Next Generation EU», qui poursuit et prolonge les mesures de réaction à la crise et de réparation des dommages causés par la crise. Pour de plus amples informations Stratégie de l'Union européenne concernant les vaccins Des vaccins sûrs contre la COVID-19 pour les Européens Questions et réponses: Autorisation de mise sur le marché conditionnelle de vaccins contre la COVID-19 Réaction de l'UE face au coronavirus Présentation de la réponse de la Commission Fiche d'information: Comment fonctionnent les vaccins contre la COVID-19? Fiche d'information: Les bénéfices sanitaires de la vaccination Fiche d'information: Procédure d'autorisation Fiche d'information: La sécurité à long terme Fiche d'information: Le portefeuille actuel de l'UE IP/21/5784 Personnes de contact pour la presse: Stefan DE KEERSMAECKER (+32 2 298 46 80) Darragh CASSIDY (+32 2 298 39 78) Renseignements au public: Europe Direct par téléphone au 00 800 67 89 10 11 ou par courriel »