Acte XX

Acte XX

Petites nouvelles de cette petite Terre ou l’une de ses Nations est confronté à la hideur subversive du néant affligeant, mais lisons 

«  La puanteur cadavérique du régime poursuit sa répression anachronique, molestant, gazant, emprisonnant des gens ne demandant simplement qu’à vivre. Cette puanteur engluée par une mafia de barbouzes attitrés, de menteurs patentés, de voleurs exacerbés, de corrompus illégitimes, poursuit sa feuille de route infernale dictée par la lie de l’humanité par excellence. L’acte XX est un franc succès, n’en déplaise à ce régime, et plus encore voyant plus de 70% des Françaises et des Français agréer ce mouvement du Peuple, régit par le Peuple pour le Peuple.

Cette puanteur régit tous les fronts et dans l’ignorance totale du Peuple de France s’apprête, selon les services Russes, à commettre un attentat chimique en Syrie, pour poursuivre l’opération décrétée par les néo conservateurs afin de mettre cette Nation aux bancs des Nations. On voit là ce qui dirige ce régime, cette prostitution à l’argenture, cette répugnance qui lui tient aux basques comme l’étron du chien aux basques du malheureux qui s’est souillé par cette fiente malodorante. On voit là ce qui veut s’imposer comme un modèle de vertu qui n’est que la plaie la plus purulente que la France ait connue, illettrée, acculturée, glauque et sordide, voyant son rassemblement de choses se présenter devant les électeurs pour les circonvenir dans l’atrophie d’une « europe » aux mains du département d’état américain.

Des choses ruisselant la bêtise comme la connivence, des choses dont on nous narre les ordures commises à l’encontre de fonctionnaires dénonçant le vol qualifié réalisé par de pseudos ambassadeurs, couvert par l’ignominie. Voilà ce qui se présente et devrait être honoré par un vote ! Cette maraude n’a aucun notoriété sinon celle du vide abyssal qui la construit, dans la défécation la plus putride, aidée en cela par la mare du sida intellectuel, les petits chiens trotskistes qui empuantissent les médias, ces vers de terre qui relèvent de la fosse d’aisance, demandant que l’on ouvre des vélodromes d’hiver pour le Peuple, où que l’on tue simplement nos concitoyens, toute cette merde nourrie par nos impôts, dont un vote de salubrité publique permettra d’écarter le vice viscéral.

Il n’y a plus de mot pour décrire ces étrons qui paradent, toute cette litanie de pauvres fumets ignorants dont la pestilence rouge brune couvre nos ondes de propos sans queue ni tête qui relèvent du néant absolu, de ce vide dans lequel grouille la vermine infecte, soliloquant son importance sans importance pour le commun des mortels, bestiaire immonde dont les croupissements et les beuglements sont les auspices de ce qui n’existe plus, les auspices de la chose sans sexe, sans conscience, marmonnant pour obtenir son gruau comme le chiens leur pitance, pauvres larves que l’on finira par plaindre tant leur tare se manifeste au grand jour, voyant leurs prêtres jusqu’à souiller l’intelligence de nos enfants dans leurs écoles, dans le mépris le plus outrecuidant du droit des enfants à disposer de leur conscience.

Nous pourrions inlassablement poursuivre cette étude de la nature humaine tombée dans les bas-fonds, mais franchement l’Humain a autre chose à faire que de constater son incurie, et je le répète, seul un vote de salubrité publique nous permettra de nous sortir de sa fosse d’aisance, dans laquelle elle se complait et à laquelle elle voudrait nous associer. Attendons donc patiemment ce vote salutaire, le reste n’étant à mettre en valeur, les exactions de ce régime qui relève du droit criminel, se poursuivant inlassablement comme si son esprit était muré dans la destruction, ce qui est parfaitement normal puisqu’il ne marche qu’en fonction de la matière et que la matière est son cercueil ambulant, la matière profane s’entend, cette matière qui se dissout dans le firmament de la nécrose la plus absolue, car ne cherchez la moindre spiritualité dans ce vivier infect qui croupit ses remugles dissonants, il n’y a rien, strictement rien, rien de la vie mais tout de la mort, son règne. »

La patience est le maître mot dans le cadre de la subversion, qui comme ont pu le voir les terriens n’a jamais durée très longtemps, une trentaine d’années en Allemagne, soixante-dix ans en Russie, quelques années au Cambodge, et certainement très peu de temps dans cette Nation dont le Peuple s’est réveillé et ne s’endormira plus jamais. 

© Vincent Thierry