Acte XVIII

Acte XVIII

Petites nouvelles de cette petite Terre où toujours dans une petite Nation l’ignominie belliqueuse de la sous-humanité pervertie poursuit son œuvre de destruction. Mais lisons :

« Les rues sont noires de monde, Paris, Lyon, Bordeaux, et tant d’autres villes connaissent une marée jaune, ce qui prouve, s’il en était que les Françaises et les Français ne sont pas dupes de l’ignominie de la gouvernance qui vient de finaliser son « débat » à une voix. Au moment où sort l’ouvrage magistral de Philippe de Villiers : « J’ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu. » montrant la virtualité de la création dite européenne, via des agents du département d’Etat Américain et des nazis recyclés par la fabrique américaine, une « europe » qui n’a rien de l’Europe et ne sera jamais l’Europe, une « europe » voulant détruire toutes racines, toute réalité, pour consacrer l’ère des marchands, des maîtres et des esclaves, ce mouvement citoyen prouve s’il en était que désormais rien ne sera plus pareil, que l’ancien monde s’écroule lentement mais sûrement, et c’est une très bonne chose. Le leurre de la gouvernance anachronique, dans cet ouvrage est parfaitement exposé, une gouvernance qui n’est que le valet de cette création dite européenne liée aux gangsters, à la mafia de l’usure, au néo-conservatisme le plus belliqueux, libérant ses barbouzes et emprisonnant sans la moindre preuve des citoyennes et des citoyens de notre Nation, tirant sur le visage de manifestants pacifiques, leur arrachant les mains, simplement pour obéir aux ordres inhumains, aux ordres de la bestialité de son régime.

Ce régime vient de lâcher ses fauves, pour faire croire encore une fois que les gilets jaunes sont les auteurs d’incendies criminels. Comme d’habitude, ce régime est aux abois et a besoin de ses petites mains pour leurrer les populations, un leurre repris en chœur par toute la vermine médiatique qui ne vit que grâce aux subventions données par le régime, que par les remises d’impôts outrecuidantes accordées à leurs suces queues patentés. Ce leurre ne passe plus dans l’opinion, fort heureusement,  car il est l’œuvre de gangsters venus de tripots dans lesquels on retrouve bien souvent la pègre et le politique, une pègre qui ne demande qu’à rendre service de manière à pouvoir continuer ses petites affaires sans être inquiété par les services de police, comme on le voit avec le trafic de drogue, comme on le voit avec les sectes satanistes, comme on le voit avec les filières pédophiles, comme on peut le voir avec le grand banditisme, porte valise d’argent sale vite blanchi par certains partis.

La France pue la corruption, pue la désintégration de sa classe politique totalement aux mains de ses mandants qui les paient royalement via les multinationales et pire encore des multi milliardaires n’ayant pour ambition que de voir l’être humain réduit à l’état de latrine. Cette France est bien représentée dans ses arcanes, dans ses loges putrides, dans ses institutions totalement sous le boisseau de la pourriture qui y fait son nid, si bien représentée via ses pauvres hères vendus au Département d’État Américain, à toutes ces sectes  hideuses qui tiennent entre leurs mains ces carpettes nuisibles, sans état d’âme sinon leur délire monomaniaque qui ressort de la psychiatrie lourde pour nombre d’entre eux, tellement ils s’imaginent des « valeurs, des « élites », alors que ce ne sont que des larves montées par l’usure au sens propre comme au sens figuré, qui ne tiennent que sur le fil du rasoir de leur soumission totale au vampirisme le plus glauque que ce monde ait connue, où l’on voit quelques milliardaires tenir le monde entre leurs mains sanguinaires.

L’observateur verra que cet acte XVIII marque un tournant, voyant se conjoindre une multiplicité de mouvements, Gilets Jaunes, Syndicats, Marche pour le climat, une convergence remarquable qui relève de la simple fraternité, totalement oubliée par les racines du mal en gouvernance, les racines déshumanisées, les racines glauques ne pouvant vivre que dans la bestialité et la perversité, ne pouvant exister que par l’ordure, l’injure, le sadisme et la violence. On s’amuse de voir le déni de cette gouvernance de la réalité, les uns chaussant des skis, les autres s’abreuvant au comptoir des bordels, les derniers fuyant le réel, s’en remettant aux ordres données par le boucher en place pour maintenir leurs petits privilèges, des ordres qui souillent l’honneur de la police, voyant dans ses rangs les suicides de plus en plus nombreux, ce que l’on peut comprendre lorsqu’un policier s’aperçoit qu’il ne sert pas le Peuple mais la barbarie, le sectarisme, la souillure de l’esprit. In fine, le régime en France est aveugle, sourd et muet, il obéit à la dérive dite « européenne », applique sa feuille de route dictée par des nazis, des bavards trotskiste, des maoïstes, toute la lie née du socialisme, cette hérésie de l’Esprit, cette contrainte de la viscosité la plus purulente qui compte derrière elle des centaines de millions de victimes.

On ne s’étonnera donc pas de la réaction de ces choses qui prétendent gouverner, des petits soldats que toute élection doit désormais reléguer à leurs chères études de domestiques de l’usure. Le Peuple n’est pas écouté, pas plus que les Peuples de l’Europe, hors quelques Nations, le Peuple de France est sous le joug le plus totalitaire qui soit, et ce Peuple saura rendre la monnaie de sa pièce à la liquéfaction de ce régime. Cette monnaie, ce sera son vote, le seul moyen de sanction qui lui reste, un moyen qui fera trembler les fondements de cette « europe » pourrie par la corruption, par le lobbysme, qui verra dans les rangs des Assemblées se clairsemer les rangs des voleurs, des prévaricateurs, de toute la lie de l’humanité qui ne mesure pas aujourd’hui les conséquences de ses actes, mais qui verra bientôt se dresser contre ses prétentions une sanction émérite, qui la verra déchu de tout droit civique, de toute retraite quelconque, qui la verra réduite à la poussière qu’elle n’aurait jamais dû quitter, montrer comme au zoo, ses actes et nonobstant les montrer mais bien les juger, car il faudra juger sa malfaisance, dont les choses ignobles ne travaillent en aucun cas pour l’intérêt général mais bien pour les intérêts de leur déviance, de leur prostitution.

L’acte XVIII n’est que le prélude de ce qui vient, qui risque, n’en doutons un seul instant de se terminer par une guerre civile totale et générale que ne gagnera pas ce régime, car que peut-il faire contre soixante millions d’êtres Humains qui se dressent contre sa barbarie, son autisme, sa reptation infecte ? Rien, strictement rien. Il est encore temps de revenir dans la réalité pour ses portes paroles, il est encore temps. Mais ne croyons un seul instant que ce régime, pieds et poings liés par ses dépendances, pire que celles de la cocaïne, dont certains pensent qu’il abuse, ce qui n’aurait absolument rien d’étonnant, manifeste la moindre ouverture vis-à-vis d’un Peuple opprimé souillé, injurié, acculturé par la veulerie qui lui tient lieu, masquant ses propres incapacités, sa propre acculturation, son propre illettrisme, ses propres dépravations, qu’il refoule sur autrui, en voulant faire croire qu’il est vierge de ces maux, alors que l’inverse par ses actes le prouve journellement. Ce régime tuera pour conserver le pouvoir, n’en doutons un seul instant, mais au premier sang versé, sans être grand clerc, on peut prédire qu’il ne restera pas très longtemps dans ce pouvoir qui lui est son opium.

L’acte XVIII comme pré cité, n’est qu’un prélude à ce qui va venir, et ce ne sera l’utilisation de la pègre pour incendier, briser, l’utilisation des assassins au service de ce régime, qui y changera quelque chose. Le Peuple se fait entendre et continuera ad aeternam à se faire entendre, n’en déplaise à ces scories élues comme des marques de savonnettes qui ne sont que des larves au service de celles et de ceux qui le pressurent. Le Peuple a très bien compris le mécanisme de l’usure et des usuriers qui vivent à son crochet, le Peuple dans son intelligence naturelle, et non celle bestiale née de l’apprendre par cœur ou pire encore achetée dans les universités et ailleurs –voyant l’incapacité en règne -, sait qui sont ses ennemis, sait que la loufoquerie politicienne n’est que la boue issue des loges qui n’a pour demeure actuellement, dans le déni de leur vocation, que le service de l’usure, de la virtualité, de cette fécondation de la trivialité la plus ignominieuse. Le Peuple donc ce jour n’est plus aveugle sur la stérilité inconditionnelle de celles et de ceux que par ignorance il a élu.

Dans une situation conflictuelle il faut toujours se sortir par le haut, et non par le mensonge, la bassesse, la propagande, et ce ridicule « débat » qui n’a été suivi que par 0,46% des citoyennes et citoyens aptes à voter, ce qui d’ailleurs fait rire le monde entier. Face à l’injustice sociale, face à la paupérisation des classes moyennes, face à l’évaporation fiscale issue de la prévarication de quelques petit pour cent de personnes qui osent se réclamer de la nationalité Française, face au déni de la voix du Peuple, il faut prendre des mesures nettes et précises : diminuer les impôts des classes moyennes, revaloriser toutes les retraites du taux annuel de l’inflation et liquider l’augmentation de la CSG qui est un vol qualifié que ce soit pour les retraités comme les actifs, réaffecter les fonds au services prioritaires, que sont les hôpitaux principalement qui n’ont pas pour vocation à être des entreprises rentables,  réévaluer le SMIC, et corrélativement liquider les avantages des personnels détachés par la chose européenne, sanctionner par aspiration les comptes des fraudeurs fiscaux, enfin dans cette première vague de mesures rendre la parole au Peuple via le RIC intégral qui permettra d’évacuer tous les parasites vivants au crochet de la société qui pullulent dans les Institutions, les Régions, les Mairies, etc. Un RIC qui permettra enfin de présenter par la voix du Peuple des demandes législatives justifiées, et non pas par exemple cette ignoble vaccination à l’aluminium obligatoire décrétée par les lobbies pharmaceutiques. Quelques exemples donc, qui bien entendu resteront lettre morte.

Quel devenir pour la France ? Aucun pour l’instant, la situation va se durcir de plus en plus, et il n’est pas interdit de penser que le Peuple décrète une grève générale illimitée pour couler ce navire mort qui ne sert que les intérêts de l’usure et de ses féaux. Cette arme sera fatale pour une économie qui n’appartient plus à la France, qui voit ses entreprises, ses aéroports vendus comme de la quincaillerie par l’ignorance économique la plus crasse qui soit en gouvernance, une gouvernance qui s’empresse de faire revenir de Syrie ses mercenaires, tous ces tueurs qui ont étripés, décapités, assassinés, dont il se servira très certainement pour poursuivre son œuvre de terreur, car ne nous leurrons, ni la France, ni son Peuple, ne l’intéresse, seul l’intéresse la capitalisation de ses avoirs, via ses partis subventionnés par toute la lie de l’humanité,  comme on le lit si bien dans le dernier ouvrage de Philippe de Villiers, voyant payés grassement les petits outils à la solde de la barbarie la plus ignoble n’ayant pour ambition que de voir naître une société d’esclaves dont ils seront maîtres, via ces petites interfaces ineptes que l’on nomme des « hommes » et des « femmes » politiques, dont le résumé est particulièrement mis en valeur par cette « europe » nazi communiste !

L’aveuglement du Peuple, c’est fini, l’aveuglement des citoyennes et des citoyens, c’est terminé. Fort heureusement. Le Peuple voit dans l’horreur ce qui le conditionne et le veut réduit à l’état d’esclave, de chose, bonne à jeter après usage, que quelques valets de l’usure éborgne, mutile à vie, tue, sans le moindre état d’âme, sans la moindre humanité, marquant ainsi la frontière entre l’humain et le sous-humain, le sous-animal en règne, méprisant, arrogant, trônant sur son incapacité, sa fadeur, son délire narcissique, sans même se rendre compte que lui-même n’est qu’un outil qui sera viré s’il n’obéit pas à la bestialité, son maître absolu. La nature Humaine a la capacité de discernement et toujours se rebelle contre le sous humain, contre la souillure de l’intelligence, contre les infirmes de la Vie qui préfèrent la mort à la Vie, qui préfèrent se complaire dans leur marais nuisible qui est le chiendent de l’humanité par excellence qui doit être évacué afin que l’Humain enfin respire, vive tout simplement, ce que demande d’ailleurs avec une certaine naïveté rafraichissante la majorité des Gilets Jaunes.  A force de tirer sur la ficelle, la ficelle se rompt, l’Acte XVIII le prouve, s’il en était. A force de mépriser le Peuple, le Peuple se fait entendre, et ce n’est pas faute d’avoir prévenu. Alors l’avenir ? En dehors des urnes qui permettront de bouter toute la chienlit composite, il ne va pas être au beau fixe, n’en doutons pas. Comme Ponce Pilate, bien nombreux seront celles et ceux qui s’en laveront les mains, car il est inexcusable de laisser dans un tel état un Peuple, un Peuple devenu chez lui de troisième classe, corvéable à souhait, pressuré d’impôts pour nourrir les mâchoires de la tenaille mondialiste visqueuse, l’immigration massive et le petit un pour cent qui se nourrit du sang et de la sueur des vivants pour faire prospérer sa débilité mentale profonde.»

Les mondes sont ainsi fait, qu’il faut passer par des épreuves pour enfin jaillir dans la lumière et se défaire des scories comme des abîmes qui y végètent et voudraient que tout un chacun fasse de même. 

© Vincent Thierry