L’autorité

L’autorité 

Petites nouvelles de cette petite Terre en proie sur sa face Occidentale à la subversion atavique la plus profanatrice et la plus dangereuse, mais lisons :

« Qu’enseigne le Verbe, qu’il n’est d’autorité dans le crime comme dans la barbarie. Or que voyons-nous se dresser par nos rives occidentales ? Sans honneur, sans grandeur, sans la moindre élévation, le prurit atavique de la bestialité qui ordonne, condamne, disgracie, dans une désintégration maladive et coordonnée issue de croyances désuètes, anachroniques et tout simplement répugnantes. Il y a là le verset de la condition humaine spoliée de son devenir par une errance concaténée par la vanité et le désir, dans un couronnement des égouts qui marchent vers la poussière, avec de hauts cris, avec des outrances que l’imagination ne peut trouver lorsqu’elle est éclairée, mais qui se magnifie dans l’ordure lorsqu’elle est bridée, infectée par l’outrance et ses miasmes aux relents nauséeux.

Où se place donc l’Être Humain dans cette fange, cette fange physique, cette fange culturelle, cette fange spirituelle ? Au cœur même de cette tourmente afin de signifier le signifiant et non les signifiés, ces impropres vitalités s’époumonant dans le vide pour en accélérer le mouvement dans une promptitude névrotique et hystérique.

Tout Être sensé ne peut continuer à suivre cette dérision, cette singularité provocante et hideuse, assoiffée de pouvoir, assoiffée d’argenture, machiavélique, pillarde et barbare à souhait s’inventant des valeurs qui ne sont pas des valeurs humaines, qui ne sont pas les valeurs de la Vie mais les valeurs de la mort biologique, dont la mise en œuvre ne permet à la Vie de s’épanouir et épanouir son champ d’action, en un quantum de temps, révélant ainsi dans les actes allant à son encontre le pire ennemi qui soit de l’Humanité dans son intégralité, un virus par excellence cherchant à la décimer, pilier de la déréliction s’il en fut, sommet de l’hypocrisie et de la laideur, au nom si commun d’usure.

L’observateur accompli n’aura grandes recherches pour commettre les hauts faits de cet esclavagisme le plus impertinent qui soit, devant lequel se prosternent les atrophiés mentaux, les stérilités les plus incompétentes, les gargarismes les plus éhontés, toute une foule de larves s’inventant une légitimité lorsqu’elle n’est que relent de la pestilence qui la recouvre et la découvre. Fatuité ses ordonnances s’initient dans des cloaques discrets où se fonde la politique nécessaire à l’accouplement de cette bestialité avec le bon Peuple, un Peuple ignorant et laissé dans l’ignorance afin de le mieux maltraiter, afin de le mieux éprouver, le rendre à peau de chagrin de sa potentialité d’exister.

Et comment donc se réalise cette perversion ? Par la dissociation parasite de l’existence Humaine en ses promesses, en éradiquant tant l’homme que la femme, leur fonction complémentaire, en promouvant la chose innommable, l’objet de la sexualité la plus dépravée, en éradiquant la famille, avec la volonté impérieuse de ne voir plus élevé ses enfants sinon que par l’infamie gouvernant l’éducation dite nationale, qui est l’enseignement à usage de l’esclave et en aucun cas de l’Être Humain, en éradiquant le Peuple lui-même, par immigration massive de toute la misère humaine, pierre brute dont les cristaux pour la plupart sont constitués de lâches fuyant leur Nation, qui serviront d’esclaves appropriés aux féaux de l’usure car bien plus malléables que des Peuples multimillénaires dont les pères ont combattu leur barbarie.

Mais cela ne suffit à la bestialité, non content de tenter de désintégrer tous les piliers de l’Humanité, elle accentue son processus de liquidation, en décrétant une pensée unique n’ayant pour valeur que de pseudos droits sans devoirs conduisant à l’immondice le plus totalitaire qui soit, dont les Nations ce jour regorge, voyant le communautarisme s’instaurer pour tenter de pulvériser toute unité, le communautarisme de l’anachronisme comme de la sexualité bestiale, une pensée unique poussant à l’adoration des criminels et au mépris des victimes, à l’adoration des assassins, des pédophiles, de toute la lie de l’Humanité qui ce jour trouvent leurs alliés dans tous les pouvoirs, et notamment dans une justice qui de plus en plus vient à leurs ordres, en relaxant l’ordure, l’ignoble, le criminel, le tueur d’enfant, le tueur de vieillard, le tueur de femme, pour complaire au mot d’ordre encensé par des gouvernances de larves aux ordres, mandatés pour mettre à bas toute valeur humaine au profit des valeurs de la bestialité.

Voici donc l’Occident ce jour, noyé par la pourriture atavique qui se réjouit, se pâme, se photographie, s’enthousiasme de ses propres aberrations, regarde avec mépris le Peuple qui le fait vivre, qu’il essore et pressure à souhait, pire que la moindre Royauté, car enfant de la bohème de la lie de l’humanité qui depuis des siècles pourrit ce monde par ses litanies, ses révolutions, ses progrès qui ne sont que des ressorts masquant une impuissance globale à régner, diriger, œuvrer, accomplir et hisser les uns les autres vers leur capacité comme leur potentialité.

Comment le pourrait-elle, lorsqu’elle est issue du néant le plus glauque et ne cherche qu’à retourner dans ce néant le plus stérile ? Fondation de cette scorie gigantesque aux araignes dislocations putrides, elle ne peut donc instaurer en ses méandres que le règne de la mort, de la mise en esclavage, et en aucun cas l’harmonie et ses principes, qu’elle méconnaît dans sa totalité comme dans ses fondements dans la croyance qu’elle détient une vérité qui n’est qu’immondice.

Témoignages s’inscrivent ses crimes, ses ordonnances, ses votes, ses degrés où s’épanouit la bestialité en principe, là le vol des vieillards s’étant échiné toute leur vie pour se constituer de quoi vivre après un dur labeur, afin de faciliter leur disparition, encouragée par le crime de sédation, là la tuerie des nouveau-nés par manœuvres dilatoires les exposant à une vaccination à l’aluminium, qui les verra perdre toute cognition et se réfugier, s’ils ne sont décédés avant dans l’autisme le plus affreux, là, la tuerie organisée des enfants de souche par invitation délictueuse à leur mise à mort médicalisée, là, la tuerie intentionnelle des handicapés par prévarication de leurs ressources, là, la liquidation massive, le génocide, car cette liquidation porte un nom, par apport massif de personnes issues de toute la misère humaine.

Voici la valeur sanctuaire de cette aberration qui se veut règne et obtient son règne par prévarication outrancière de la vox populi en mentant sur ses origines, ses dépendances totalitaires tant à l’usure qu’à ses loges de renégats, de traîtres et d’assassins. Et il y en a certain pour en appeler à ses valeurs autocratiques, dictatoriales, cachant dans l’hypocrisie et le sourire, la gestuelle invariante du mensonge ses buts afin de mieux faire accroire l’existence d’une quelconque lumière dans sa concrétisation, là où ne luit que la hideur, l’ordure, la dégénérescence, la pitoyable béatitude des proscrits et des assassins.

Assassins de la Vie dans ses harmonies, ses complémentarités et ses exhaustives permanences, assassins de la Culture qui n’est levier de la barbarie mais son antidote, assassins de la spiritualité qui n’est fourrier, sauf si elle est pénétrée par cette larvaire débilité, de la réduction de l’Être Humain à la poussière, à l’esclavagisme le plus barbare et le plus sanguinaire qui soit.

Ici nous voyons que toutes les valeurs sont inversées, que le déshonneur, la bassesse, le crime, le vol, le pillage et la barbarie sont allégresses de cette portée de fauves invariants, de prédateurs insignifiants, de licteurs insanes et consommés, tant la médiocrité est leur vestale attitrée. Une médiocrité les poussant toujours plus avant vers la bestialité, telle que l’Histoire Humaine le conte depuis des centaines d’années, et plus récemment dans l’ordure socialiste dont le frère communiste a mis à mort plus de cent cinquante millions de personnes à travers le monde, dont le frère national-socialiste a déclenché une guerre barbare et un génocide sanglant, petits frères de cette insanité que l’on voit ce jour gouverner en Occident, notamment dans ce que l’on ose appeler l’ « europe », un comité de salut maçonnique avarié, une communauté de larves au service des usuriers, une dictature qui ne dit pas son nom mais se révèle parfaitement dans ses fondements comme ses critères accessoires, dictés depuis l’origine par de faux alliés ne cherchant qu’à détruire la consistance européenne, qui par deux guerres étayées en a réduit l’intelligence à peau de chagrin, ce qui leur permet ce jour de pavaner et de voir diriger certaines Nations non pas par des Êtres de souches, mais des larves de leurs gouvernements aux mains de l’atavisme sanguinaire qui s’imagine la gloire de l’instant présent alors qu’elle n’en est que la moisissure.

Lorsqu’on est ennemi de la Vie et de ses ordres, lorsqu’on choisit la dictature pour compléter sa médiocrité, le pouvoir qui en est gréé ne peut tenir longtemps, sinon que par la violence, telle qu’on a pu la voir mise en œuvre lorsque de malheureux gardiens de prison en France, sous-payés, au but des agressions d’assassins emprisonnés, pour faire valoir leurs revendications sont livrés à la furie de policiers agissant sur ordre de la gouvernance, une gouvernance qui s’acclimate parfaitement du pillage et du vol occasionné par des prédateurs en périphérie bretonne, une gouvernance qui ose sermonner nos policiers en charge de Calais, qui se contrefiche des huit millions de pauvres existant en France, et ordonne de livrer des repas à des sans-papiers en cette même ville de Calais, une gouvernance qui s’inscrit parfaitement dans ce qui vient d’être dit ci-dessus, volant les retraités, volant les handicapés, s’attaquant aux plus faibles, une gouvernance décrétant la vaccination obligatoire par onze vaccins des enfants nés, dans le mépris le plus total du droit international, une gouvernance instaurant la préférence étrangère, une gouvernance pillant les caisses de l’État, une gouvernance œuvrant à la destruction de Nations étrangères, notamment au Yémen, en Syrie, en Irak, en Libye, alliée de l’ignominie humaine, le djihadisme, voyant jusqu’à l’un de ses ministres avoir pour conseil un membre de cette mouvance ignominieuse. N’en jetons plus, la cour est pleine, les faits qui ne sont pas de fausses nouvelles parlent pour nous.

La dictature insidieuse s’installe dans notre Nation comme elle s’est installée en Europe dans l’inertie la plus brutale comme la plus coupable. Attendons-nous à pire dans les mois et les années qui vont suivre, au même titre que ce qu’a connu la Russie en son temps, avec les Lénine, Trotski, Staline et consorts, et l’Allemagne, avec Hitler et ses licteurs qui ont encore voix au chapitre. L’ennemi de toutes les valeurs Humaines est dans la place, associée avec sa cinquième colonne de mercenaires, les uns djihadistes mercenaires de retour, les autres anachroniques gauchistes, les derniers sacres de toute la perversité humaine, pédophiles, satanistes en tout genre, tueurs d’enfants et pire encore.

Tant la France que les Nations Européennes vont avoir fort à faire pour remonter à la surface, faire renaître les valeurs humaines. N’oublions pas que la terreur Française n’a pas duré dix ans, que la terreur socialiste communiste n’a pas duré cent ans, que la terreur nationale socialiste n’a pas duré trente ans, espérons que la terreur que nous allons connaître nazi communiste par essence, trotskiste en substance, ne dure pas plus que ces précédents petits frères.

Mais pour cela faut-il que le Peuple de France comme les Peuples Européens cessent, de voter pour les images d’Épinal de l’usure et de leurs féaux, ces fidéistes commissaires politiques que l’on retrouve dans tous les partis et que les partis qui se respectent doivent écarter sur-le-champ pour pouvoir convaincre et espérer mobiliser des Peuples égarés dans la bestialité et ses jouets, notamment ces smartphones dont la fonction  ne leur pas été enseignée, celle de servir et non de rendre esclave.

Mais faut-il pouvoir penser par soi-même pour cela, ce qui n’est plus le cas malheureusement d’une bonne partie des populations qui se soumet invariablement, ne pouvant admettre qu’existât autre chose que la médiocrité pour vivre, et invariablement votant pour plus médiocre qu’elle afin de s’accroire encore partie vitale, là où elle n’est plus que négoce d’esclavagistes attitrés. L’Ouest bouge, l’Est bouge, reste aux Nations Européennes à se débarrasser de leurs boulets qui ne sont que les précieuses ridicules des usuriers qui les gouvernent, à l’image de l’Islande par exemple. »

La subversion a toujours été terrassée, qu’importe le temps qu’il a fallu parmi les sphères qui sont tombées dans son étrange condition barbare et bestiale, ce jour renouvelées par la rectitude physique, morale et spirituelle de celles et de ceux qui les gouvernent, dans l’harmonie et la sagesse. Ainsi que ne désespèrent ces Terriens encore balbutiants.

© Vincent Thierry