Réaction Actions

Réaction Actions

 

La folie domine ce monde, dont les particularismes se déchaînent comme des vents violents que rien ne semble devoir arrêter. Nécrose de l’inversion de la Voie, ici se situe l’extrême déshérence dans tout ce qu’elle a d’affligeant et de ridicule. Croire un seul instant que l’Humain ne soit qu’un ventre, une bouche, un anus, qu’une invitation sexuelle, qu’une accentuation acceptant l’avortement comme l’euthanasie, la mort donc, relève de la stupidité et du nihilisme le plus désœuvré, et pire encore de l’institutionnalisation du meurtre, meurtre de la Vie dans ce qu’elle a de plus précieuse, de plus volontaire et de plus déterminée, meurtre de la Vie couronnée par la vaillance, l’honneur, l’attitude aristocrate qui ne relève d’aucuns parjures et agit sans faiblesse dans le sens de la Justice, qui n’est pas l’apparat de la mortelle essence que nous connaissons actuellement, une justice désaxée profondément, donnant plus de droits aux meurtriers qu’aux victimes, gazant les manifestants, et notamment les enfants qui défilent avec leurs parents.

Société de mort et de tueurs nés, dont l’aberration la plus sublime se situe dans la nature même de son système, basé sur le racket, l'extorsion de fonds, le blanchiment d'argent, absous par une clique paranoïde qui se dit oligarchie, lorsqu'elle n'est que représentante de l'atrophie la plus répugnante.

Et ce pourrissement des valeurs humaines trône, inscrivant au niveau de cette "europe", reniée par tous les Peuples contraints de s’y additionner, un parlement noir qui n'a d'autre dessein que la mise en esclavage de nos Peuples, un état dans l'état, suprématie de tous les degrés de l'avilissement, de la prostitution des corps, des esprits et des âmes.

Nous sommes dans l'âge des ténèbres porté par cet âge des "lumières", qui n'est que la représentation d’une contraction temporelle, voyant la fureur des nains qui devant l'Olympe, qu'ils jalousent, s'efforcent à être alors qu'ils sont et ne resteront que paraître, faces hideuses de l'Humanité qui grouillent, dans une infection et une prolifération vivipare, dont l'Histoire Humaine ne retiendra rien, sinon le néant qu'elles furent. Faces de sombres personnages déguisés dans l'ombre ayant perdu tout honneur pour une parcelle de pouvoir qu'ils pourvoient par une dénature accablante, circonstance pitoyable que même une tribu de singe ne copierait tant elle est lamentable.

Des éclairs de capacité parfois illuminent cette stérilité qui se matérialise dans cet abîme, mais si peu nombreux qu'ils sont réduits à la noirceur qui anime sa bestialité purulente. Une bestialité qui ruisselle les caprices de la nature comme de la nécessité d'ailleurs, dont la typologie relève de l'atrophie la plus hystérique qui soit, voyant le matérialisme se hisser spiritualisme et dans son inverse, devenir ramure de toute contraction temporelle, bâtissant son "empire" sur les fresques d'une Histoire qu'elle cherche à détruire, à effacer de la mémoire humaine, voyant ici le triomphe de tous ses agents de la destruction en œuvre, ici en Europe en laminant l'existence immortelle de royautés et d'empires en majesté, là en Mésopotamie en détruisant les racines de civilisations fabuleuses, Irak, Syrie, et bientôt Iran, toutes Nations inspirées par les invasions Indo Européennes qui ont été trône jusqu'en Égypte, traces supérieures à tout gémissement, à tout larmoiement, à toute mendicité, à toute usure, qui resteront immortelles, que leurs destructeurs ne se trompent, car inscrites dans les gènes des Humains bâtisseurs.

Humains qui créent, Humains créateurs qui ne se couchent devant l'insanité, la pourriture, la lèpre, de l'intelligence fourvoyée, leur errance constituée dont on voit aujourd'hui les lames de fond s'épuiser. Car elles s'épuisent ces inénarrables débilités du temps, ces romans en exergue qui ne sont que des publicités déguisées pour des marques sans raison, ces philosophies de pacotille qui s'égosillent dans la veulerie et la microscopique préhension de leur sujet toujours en dévotion devant l'usure et ses féaux, ces poésies nidifiées dans la nostalgie masturbatoire qui guident vers le néant, ces rescrits d'histoires ridicules revisitées par l'errance et ses surgeons spasmophiles et ignares, ces essais politiques qui suent la reptation dans toute sa dépravation, ces médias, qui sont au sommet de cette morve insolente, qui ne gréent que le tourbillon de la génuflexion, de la culpabilisation, qui toutes les heures nous imposent d'aimer, d'apprécier, de se noyer d'admiration pour le mensonge qui en Europe et en Russie a participé à l'exécution de soixante millions de personnes, au nom de l'idéologie socialiste de la mort, sous l'abréviation de communisme, qui verra un peuple, par l'intermédiaire de la même idéologie, sous l'abréviation du national-socialisme, mettre en camps des millions de personnes afin de les exterminer, les plus pauvres, les plus humbles, qui ont souffert le martyr, comme tous les résistants à l'oppression de ce socialisme déliquescent.

Les beaux médias, donc, qui à l'image de l'art dégénéré qui se promeut, aujourd’hui sont sujets à toute risée quant à leur interprétation du réel qui se noie dans le virtuel, cette inversion du champ temporel où se réjouissent toutes les reptations de l'esprit, toutes les prosternations des âmes, toutes les disruptions des corps, mânes pour l'atrophie et ses vautours. La nécessité de leur existence est là, pour faire apparaître tout ce que l'Humain ne doit pas suivre, cette boulimie de la suffisance, cette incarnation de la déshérence, cette familiarité rituelle avec toute la morbidité, ce vampirisme de l'usure, cette folie conditionnée et caractérisée qui va aux extrêmes du pourrissement de tout ce qui est existence.

Une litanie ubuesque que tout un chacun doit évacuer de sa raison afin que sa raison jaillisse en proscrivant toute cette infamie, ce chancre qui de l'Humanité se repaît. Inscrit en ses outrances envers la Nature, le darwinisme, le freudisme, le einsteinisme, le friedmanisme, qui sont les équations de l'aphonie dont le ridicule est notre mets quotidien trônant dans l'ordure d'une sous-culture où se gargarise la bassesse, où se soulagent toutes les perversions, la pédophilie, l'inceste, cette criminalité qui veille à son bien-être, légiférant l'inadmissible pour apothéose. Un genre, une chose dénaturant l'Humain pour le convenir source de revenus, de luxure, bétail anémié, acculturé, illettré, se précipitant dans la syphilis issue de cerveaux tronqués, l'euthanasie et ses dérives, afin que l'usure protège sa "destinée", qui sera celle qu'elle mérite, la disgrâce à perpétuité.

Car il n'est question dans ce qui viendra inévitablement de faire martyr de cette insanité, mais bien au contraire de la montrer dans sa réalité qui est monade de la contraction que nous subissons, menée par des êtres vils, menteurs, fourbes, sans honneur ni moralité, tueurs nés de l'intelligence au profit non de l'or spirituel mais de l'or matériel, s'engraissant sur la misère, le paupérisme, l'esclavagisme, faiseurs de guerres ignobles, envoyant à la mort par embargos et famine trois millions d'enfants Irakiens, ignorants les six millions de victimes congolaises, l’épuration spirituelle du Darfour, la liquidation systémique des Êtres Humains de Race noire de Libye, taisant le meurtre sanctifié de toute la Chrétienté de ce globe, génocides dont on ne parle pas, voyant ses émules égorger, éventrer, éviscérer, sodomiser, tout un Peuple qui n'agrée à ses démences comme en Syrie qui se défend avec vaillance contre son génocide enchanté par toute la pestilence rouge, l'immondice que l'on nomme le socialisme qui est le vecteur qu'il convient de détruire idéologiquement en montrant historiquement la nature de sa répugnance, auteur du crime organisé, de la mise à mort de centaines de millions d’Êtres Humains à travers le monde, afin de libérer l'Humanité de ses exactions.

Ce socialisme cherchera, en vain, à taire sa nature, comme il a voulu le faire avec Soljenystine, tout un chacun peut en connaître la réalité, son crime envers l’Humanité jamais jugé, le meurtre de plus de cent cinquante millions d’Êtres Humains à travers le monde, dont la sous culture de fin de race ne parle pas dans ses médias ravagés par l’ignorance, ces Cent cinquante millions parqués comme des bêtes, assassinés froidement, par la Tcheka, le Kominterm, la Loubianka, sa Gestapo National Socialiste, Sa SS Nationale Socialiste, toutes fosses communes faisant place à ce qu'est la réalité du socialisme, une usine de la mort, un goulag où la pensée unique domine, où la médiocrité culmine, où l'esclavagisme est règne, et où le meurtre comme la perversité triomphent.

Triomphe de l'innommable, de l'usure son animatrice et sa rédemptrice, cette religion de la dénaturation, de l'horreur sanctifiée, voyant ses nains se vautrer dans les viscères de l'Humanité, avec un gargouillis obscène, celui de s'accroire maîtres du monde, alors qu’ils ne sont qu'esclaves de leur atrophie. Voleurs magnifiés que l'on voit en action à Chypre, où les petits épargnants devraient se voir taxer sur leurs économies pour renflouer leurs erreurs systémiques, car ce charnier économique est le leur et non celui des Peuples, ne l'oublions jamais, pauvres Peuples asséchés intellectuellement que l'on amuse avec des jeux, des pantomimes du vivant, avec une télé réalité insipide, afin qu'ils ne voient pas cette réalité, qu'ils ne doivent pas un centime à cette pourriture qui veut les flouer de leur épargne.

Il n’est question ici de prendre des gants pour s’exprimer contre ce qui décide du sort de l’Humanité dans ces conditions phénoménales, et le traiter comme il se doit par les noms les plus distincts. On prend des gants avec l’Honneur, on fait dans la dentelle avec le Chant d’Amour, mais lorsque des êtres décident d’affamer, de voler, de saccager l’héritage de Peuples entiers, de détruire toutes leurs racines, biogéohistoriques, culturelles, spirituelles, et en sus s’accordent pour détruire, par euthanasie consentie, une partie de l’Humanité au nom de principes économiques issus de la perversion la plus aphone, il faut nommer ce qui est et ce qui règne : la pourriture, ce remugle qui nous vient des égouts de la Terre et y retournera, car la nature a ceci de particulier, c’est que lorsqu’elle est attaquée par la virtualité, elle revient toujours à l’équilibre dans la réalité, c’est une loi que rien ni personne ne peut contrôler, car elle n’est pas née avec les élucubrations post-révolutionnaires, mais avec la Vie elle-même qui nettoiera la fange qui cherche à la détruire.

Pour comprendre cela, faut-il prendre de l’altitude, et ne pas vivre dans l’immédiateté, dans cette lâcheté indivise qui semble la cornée des Peuples qui ne savent plus se révéler, des Peuples qui baissent les bras, des Peuples qui se laissent dériver en soumission. À ces Peuples faut-il leur dire qu’ils sont les pierres angulaires de ce monde qui devra se bâtir sur le réel et non le virtuel, et qu’ils doivent être fiers, je dis bien fiers de leurs origines biologiques, de leurs origines culturelles, de leurs origines spirituelles et cesser de se comporter comme des lâches devant les invasions barbares qui tentent de les annihiler, de les vautrer dans un cosmopolitisme qui ne correspond que la virtualité, un métissage où s’inversent toutes les valeurs, alors que la confluence des Peuples est multiplication des valeurs, donc être fiers de leurs Identités, être fiers de leur histoire, qui est l’Histoire Humaine en action et non en reptation devant la soumission, comme on le voit actuellement où l’oppression de l’inintelligence a atteint ce degré labial de la perfection de se dissoudre dans le néant.

Tout Peuple a pour tâche de se relever de la putridité qui cherche à l’envelopper, de fustiger et par voie légale d’assigner toute propagande intolérable qui cherche à fustiger dans l’outrance, la provocation, sa réalité Humaine, devant la Justice. Les Peuples doivent se faire respecter et cesser d’être les sujets de l’outrance de ces verbes d’usuriers qui les accoutrent du nom de «populisme», qui est l’injure par excellence que se réserve l’errance à leur sujet. Ce terme doit faire l’objet d’une poursuite devant les Tribunaux pour atteinte à l’intégrité de la réalité qui est celle du peuple, de celle qui ne transige pas devant l’ordure, le parasitisme, le vol, le pillage, l’assassinat qu’il fut collectif ou individuel, le mensonge associé à la propagande.

La Loi n’est pas faite pour les chiens et la Loi du respect ne doit pas être unilatérale. Toute atteinte à l’intégrité du peuple dans sa consistance biogéohistorique doit faire l’objet d’un procès à l’encontre de la purulence qui cherche à noyer la réalité afin de mieux cacher ses crimes. Lorsqu’on voit que sont ignorés les défilés en protestation du mariage gay, qui ont accueilli un million quatre cent mille personnes, que des enfants et des parents ont été gazés par la gouvernance, on peut voir que tant que tout un chacun ne se fera pas respecter devant les Tribunaux, pour atteinte à sa dignité, pour atteinte à son Identité, pour atteinte à son histoire, tout un chacun sera malléable dans cette écurie où baigne la destruction attisée par la fange, et plus particulièrement par le Socialisme, cornaqué par les basses loges déicides et sataniques qui défèquent matin et soir sur la réalité pour promouvoir cette ridicule prétention d’une «république» «universelle» imposée par la force, l’outrage, la démesure, la perversité, l’abjection, la fourberie, le viol systémique, toutes aberrations conjointes à celles des illuminés, qui depuis bientôt trois cents ans sont les insanités de ce monde, dont ce monde doit définitivement se séparer.

En considération, cela implique le vote utile, le vote qui sanctifie la capacité contre la médiocrité, le vote qui ne s’annonce pour toutes les appartenances qui ne servent pas les intérêts de la Nation, mais les intérêts de la bestialité couronnée, afin d’apurer le corps de la Nation de ses parasites, de cette syphilis intellectuelle qui est le nectar encouragé par toute la putridité «philosophique» aux odeurs pestilentielles qui suent les génocides par milliers sur cette petite planète au nom des intérêts de l’usure et de ses féaux.

Face à ces nids de scorpions et de vautours, prédateurs simiesques, il convient de renaître à la pertinence de la reconquête de la Voie, qui n’est un mystère que pour les sapiences retorses qui n’osent affronter le réel dans sa grandeur, reconquérir avec ce sens de l’honneur inné, issu de la rémanence formelle des Peuples, ces Peuples, que dans sa nécrose, la bestialité cherche à obérer afin que tout un chacun se noie dans ses immondices, ces Peuples qui doivent renaître à eux-mêmes afin de fertiliser le devenir et non plus s’atrophier par culpabilisation inventée de toutes pièces, légalisée par l’outrance afin de masquer ses crimes.

La reconquête qui en fait n’est que la conquête de la Voie est là, permanence inamovible que tout un chacun doit reconnaître et par là même inscrire dans son devoir de gréer l’avenir et non les fondements de la coagulation dans une mystique matérialiste qui n’est que le refuge des lâches, des pervertis, des aphones, de tout ce que comporte l’Humanité de délétère, qui se matérialise dans la matérialité la plus absurde, refuge pour les couards, les pleurnichards, les atrophiés de la Vie qui cherchent à l’estropier.

À l’aube d’une troisième guerre mondiale qui se déroulera entre la Chine, les USA et leurs alliés, qui pourrait très certainement être évitée si, et si seulement, la portée de l’usure démentielle que nous connaissons actuellement s’élimine naturellement, que les ressources de notre planète soit équitablement partagées par-delà le vampirisme, ce qui ne sera malheureusement pas, il serait temps donc que tout un chacun des Peuples rééquilibre ses potentialités tant physique, que culturelle, qu’économique, afin de faire face à l’adversité démentielle qui s’annonce, celle d’un mondialisme totalement dévoué à l’errance et l’usure, qui ne cherchera en aucun cas à l’élévation de l’Humanité mais bien sa castration totale.

Afin qu’elle serve son bon vouloir, par désintégration subséquente qui verrait naître cette «république» «universelle», si chère à certains, en prosternation devant le veau d’or, le matérialisme le plus hostile, gouverné par une médiocrité accentuée initiée par le seul pouvoir de ce matérialisme grotesque, de cette coagulation où trôneraient les «sages» grands prêtres de thanatos, les mains pleines de sang des humains, en condition de l’avortement et de l’euthanasie obligatoires et légalisées du «genre», de cette larve qui fut autrefois humaine, réduite à l’état de sous-animal, n’ayant d’autres fonctions que de servir la bestialité dans toute son horreur, son avilissement, sa répugnance.

Ici, non pas des artefacts de poète, de la science-fiction, mais bien la réalité qui se dessine au regard des prouesses que certains s’autorisent dans une sexualité débridée, principalement pédophile, qui s’autoprotège, une mentalité de tueur né qui cherche la destruction de Peuples entiers pour le profit d’un petit pouvoir, une arrogance de médiocre qui ne se convie que par l’importance d’un portefeuille et en aucun cas d’une intelligence, un viaduc vers toutes permissivités, dès l’instant où la destruction de la réalité est initiée, nobélisant tout ce que compte d’agents de la désintégration de l’Être Humain, une portée que Sparte eut détruit dans l’œuf mais qui aujourd’hui brille de tout son clinquant dans une rutilance infecte qui s’imagine merveille du monde, alors qu’au regard de chacun elle se sanctifie dans l’atrophie la plus profonde et la plus affligeante que l’Humanité ait connue.

Et ce ne seront les leurres, les flagorneries, les sourires en coins, les bêlements en tout genre, circonstanciés pour amadouer les Peuples qui changeront quoi que ce soit à sa distinction, à sa prononciation, tant il y a de quoi être écœuré par tant de banalité dans la prosternation de la culpabilisation, que n’apparaît dans ses créances sur le devenir que sa bestialité, son inféodation, et son larbinisme, que tout un chacun, lorsqu’il est conscient, rejette d’un revers de main significatif.

Car il est déjà bien trop tard pour cette atrophie accouchant de la mort en pastille dorée, labellisée par des lois iniques, le vent de la conscience fait des ravages dans les Peuples, les réveillant de leur torpeur agraire, et ce n’est qu’un début, devant le mensonge patent, l’hypocrisie, la forfaiture battant son plein, la traîtrise exultant, toute considération disparaît à la vitesse de l’éclair, ne rassemblant autour des «principes» de cette atrophie, cette République avortée, plus que le noyau de l’inintelligible qui, dans son navire qui sombre, voudrait encore rassembler, mais rassembler qui et pourquoi ?

Qui est aveugle certes, pourquoi, pour désintégrer l’Être Humain, répudier la Femme dans la circonscription du genre, avilir l’Homme dans une bestialité sans devenir, métisser de force les Peuples afin qu’ils perdent leur harmonie, illustrer une «europe» fédérale dérisoire où trône un Parlement dans le Parlement qui ne sera jamais l’Europe, n’est pas César qui veut, pourquoi donc, pour tout cela qui est sans intérêt par rapport à la réalité Humaine transcendée par ses Peuples, ses Identités, ses Races, ses Cultures, l’Humanité, sans le moindre intérêt pour qui seulement se donne le temps de réfléchir et voir que tout un chacun est l’esclave de la virtualité de l’atrophie, ce monde fondé sur l’usure et ses féaux qui est le voile de l’illusion, ce voile qui se déchire et devra disparaître pour faire place à une Humanité responsable, des Peuples comme des Identités respectées et respectueuses, qui forgeront non pas comme je l’ai déjà dit ce «nouvel» ordre mondial dévoué à l’usure, mais l’Ordre Mondial naturel qui dans la réalité permettra de dépasser toutes ces scories accumulées qui sont les freins à la croissance Humaine, à son élévation, à son couronnement par son accession à sa transcendance, par la reconnaissance de sa totalité et non de cette seule facette, le matérialisme, qui n’est que la pacotille que l’on donne aux roitelets pour rendre esclaves leur Peuple.

Cela vient, mais avant bien des épreuves, bien des génocides programmés, bien des meurtres collectifs et individuels, ne nous leurrons pas, la bête est pugnace, cependant elle n’a que trois cents ans, et à l’échelle de la Terre comme de l’Humanité, elle a à peine quelques secondes, ces secondes qui se déploient dans l’inversion du champ temporel qu’il faut redresser en tous lieux, en toutes Nations, par toutes Identités, par tous Peuples, par toutes Races, par l’Humanité globalement, en toute conscience et par toute conscience à travers ce petit monde.

Nous le savons tous, cette inversion est portée par une infinitésimale partie de l’Humanité, qui ne représente strictement rien si se coordonnent les actions des Peuples en vue de son reformatage, par éviction de tous votes envers les féaux de ce quarteron de l’usure qui cherchent un refuge dans l’esclavagisme afin d’assouvir leur atrophie intellectuelle. Car c’est bien d’atrophie qu’il s’agit, une atrophie liée à la démesure de la matérialité comme de la spiritualité déviante, moteur de la désorganisation globale de l’Humanité, mantisse de sa destruction programmée, dans une sous-culture de la mort qui se veut dominante.

Et c’est contre cela que tout Être Humain normalement constitué dans la raison de l’empathie comme de l’altérité naturelles, se doit de se battre avec tous les moyens légaux à sa disposition afin de fonder sa réalité dans un monde où je le répète, chaque Identité biogéohistorique constituée, chaque Peuple, chaque Nation, chaque Race, respectueux et respectés, pourront revitaliser dans le cadre d’une organisation comme d’une structure organique l’avenir de ce petit monde, tout simplement en instaurant l’Universalité et non cet espèce de magma sans nom que l’on ose nommer le mondialisme, encore un isme, où ne se respire que la putréfaction des cadavres dus aux génocides alimentaires, aux pollutions intentionnelles de l’eau comme de l’air, à la prolifération de molécules destinées à tuer et non à soigner, tel le h1n1 dont les souches ont été envoyées en Europe, au délire concerté de guerres perverses initiées pour la vente d’armes et la prise de possession des matières premières d’autrui, se servant du terrorisme manipulé afin de faire accroire à de quelconques guerres de libération qui en fait ne sont que des guerres programmées pour asservir des Peuples entiers à l’usure et ses féaux, etc., etc., n’en jetez plus, la cour est pleine de ces insanités.

Le nouveau défi de ce petit monde sera donc de faire en sorte que chaque Être Humain se prenne en main, que chaque Peuple se prenne en main, que chaque Race se prenne en main, que l’Humanité tout entière se prenne en main pour renvoyer à leurs chères études les dictatures en tout genre qui se manifestent et n’ont d’autres intérêts que l’asservissement. Le pouvoir n’appartient à personne, il se prend avec les armes qu’utilise l’ennemi de l’Humain, dans l’hypocrisie s’il le faut, dans l’entrisme comme l’insinuation de toutes les Institutions, qu’elles soient privées, publiques, associatives, syndicales, ouvertes, discrètes ou secrètes, rien ne doit arrêter le combattant de la Vie pour la Vie en la Vie, et ce n’est que par sa volonté qu’il pourra, dans sa multiplicité, qui n’a besoin de banderoles pour défiler, d’écusson pour se faire reconnaître, conquérir tous les pouvoirs en place et les destituer pour faire rayonner la Vie et non la mort qui est le fier panache de l’usure et de ses associés.

Tout doit être objet de l’insinuation la plus pénétrante afin de nettoyer les écuries d’Augias qui persistent et veulent faire accroire leur puissance, qui n’est qu’une impuissance à régir, une impuissance à élever, bâti de la monstruosité qui s’épanche et se félicite dans sa médiocre difformité spectrale.

N’oubliez jamais, en compréhension de l’Ordre Mondial naturel, ils ne sont rien, nous sommes tout, voilà la réalité du pouvoir, ce pouvoir dont ils ont une peur morbide, les voyant lancer leurs grenades lacrymogènes contre les travailleurs, les enfants et les parents défilant contre le mariage gay, et tutti quanti, protégeant leurs banques, leurs deniers, leur usure comme des mégalomanes, tant leur croyance limitée les prive de regarder le réel où les Êtres Humains se débattent dans leurs rets avides. Ils ont tout oublié, de cette réalité qui dépasse leur entendement, savoir que Tout est en Un et Un est en Tout, et qu’ils sont donc compris dans ce Tout, qu’ils sont en dépendance de nous-mêmes, ce que nous ne sommes pas, si et si seulement nous les comprenons dans ce Tout, non en les stigmatisant mais en ouvrant leur regard fermé sur le réel qui jamais ne peut être contraint, contrairement à ce qu’ils voudraient croire.

Face à leur délire, la solution réside comme précité par leur insinuation totale et conjointement pas une action de pesanteur globale qui se trouve régit par le rejet inconditionnel de toutes les formes qu’ils agissent que ce soit dans la consommation, par une consommation locale, que ce soit dans les modules culturels, par une résurgence des cultures propres aux Identités et la mise à l’index totale de la sous culture, que ce soit dans la matrice spirituelle par la résurgence des croyances naturelles et divines propres à chaque Peuple, et dans la cohésion comme pour la sous culture, le rejet global de ce qui cherche à soumettre l’Être Humain par l’intermédiaire de flux qui se disent religieux et qui ne sont que masques de politiques dont les ingérences doivent être dénoncées avec force afin qu’elles ne deviennent pas coutumes, ce qui implique le rejet des communautarismes qui veulent s’instaurer dans chaque Nation et exercer des droits inexistants et inadmissibles en fonction de leurs «spécificités».

On le voit la pesanteur peut être le moyen le plus signifiant qui puisse exister pour mettre fin à l’intolérable, à cette déviance accentuée par le viol systémique des Peuples, des Civilisations, qui ne sont pas en état de choc contrairement à ce que l’on pense mais bien en état de désintégration si on n’y remédie pas.

Pesanteur, insinuation, et rejet global par non-consommation de produits «culturels» avariés qui ne sont que les fruits de l’outrage et de la perversion, voici les maîtres mots d’une libération des Êtres Humains de leur asservissement dont on voit si bien les symptômes lorsqu’on regarde soit dans la rue, soit dans les moyens de transport collectifs, les ravages en la présence d’une virtualité consommée, cette virtualité qui se présente les écouteurs branchés dans les oreilles, et en parade d’une téléphonie sans fin dactylographiée où récitée, qui représente si bien la diarrhée de cette économie du non-sens devant laquelle nous devrions nous incliner.

En résumé, outre l’insinuation et le droit de pesanteur organique prés cités, se nourrir local avec des produits sains, consommer local, évacuer toutes les scories «culturelles», n’acheter en matière de littérature en aucun cas la peste rouge qui y sévit, le prurit de la sous publicité qui s’y engage, et surtout évacuer totalement les pseudos philosophes de basse-cour qui y regorgent, totalement pervertis à l’usure et son règne, et notamment ceux du «mondialisme» où l’on en voit se mettre à rêver d’une euthanasie comme moyen de gouvernance, d’Êtres Humains assimilés à des animaux, de cités sans fin qui seront les goulags de l’avenir, et bien entendu pour ces illustres personnages de la voirie devenir les sages qui conditionneront des larves qui du berceau à l’euthanasie conditionnée seront leurs esclaves patentés, des esclaves sexuels, des esclaves productifs, des vaches que l’on abattra lorsqu’elles seront bien grasses, où que l’on fera crever en leur inventant des maladies imaginaires, et que finalement on piquera afin de les envoyer dans l’au-delà avant qu’ils ne bénéficient d’une simple retraite.

Et pour finir, s’abstenir de tout vote de la dépendance à des sectes qui veulent régir en demandant à chaque impétrant ses appartenances, et surtout, par pitié, voter pour la compétence et en aucun cas pour la médiocrité conditionnée par corruption ou hypocrisie, voter des Êtres sans appartenance ni étiquette qui les feraient esclaves de lobbies quelconques, en substance comme en essence voter pour la capacité.

Les derniers événements prouvent que la corruption est partout, à tous les niveaux et qu’elle s’entraide, qu’elle se blanchit, qu’elle se coordonne, qu’elle est le ruissellement de cette féodalité qui s’instaure, les uns les autres qui s’en initient, se tenant les uns les autres en fonction de leurs actions prévaricatrices pour les uns, sexuelles pour les autres, meurtrières pour les derniers, le tout couronné par la pédophilie qui est une laisse pour les impétrants au pouvoir, ne l’oublions jamais.

Mais les Peuples ont-ils encore le courage de se battre contre l’opportunisme, la dictature, le mensonge, à l’image du Peuple Islandais? L’avenir nous le dira, en attendant chacun en son lieu et son espace, d'ores et déjà peut un tant soit peu combattre avec les armes explicitées ci-dessus. Il n’y a pas besoin de réunion, il n’y a pas besoin d’appartenance, il n’y a pas besoin de blason, pour réussir cette contre-révolution naturelle, bien au contraire, sept milliards d’Êtres Humains en action peuvent réussir sans la moindre faille, sans la moindre escarmouche cette renaissance à la réalité, dans une autodétermination motrice qui n’a pas besoin de partis pour s’exprimer, car cette expression se trouvera dans sa source même, celle de la vie et du vivant se confrontant avec la moisissure de ces quelques secondes cherchant à asservir et qui devant la quantité d’actions individuelles qui se multiplient, et non ne s’additionnent, disparaîtront naturellement.

À chacun de se situer et de s’ouvrir à la pérennité où de disparaître dans le néant de la matérialisation la plus abjecte que l’Humanité ait connu.

© Vincent Thierry