La transgression absolue

La transgression absolue

Des nouvelles de cette petite Terre, où se répètent inlassablement les mêmes ignominies, mais lisons :

« La nature même du diktat se met en place progressivement. Elle ne s’astreint aux bruits de bottes, elle se confère dans la dernière transgression, celle de l’anéantissement de l’humain, ici considéré comme un objet de vente, de profit, de consommation. Un pour cent de l’Humanité regarde l’Humanité comme son bétail attitré dont il peut faire ce qu’il veut, quand il veut, à satiété, suivant le rendement de ses actions, suivant l’opportunité qui est son délice, pour amener tout être à son déclin, dans un parjure mystique né de l’incantation et de la prosternation à ce qui n’est pas la Vie, mais la matrice de la matière. Une matière sans énergie, sans vitalité, une matière nauséabonde et crucifiante explorant ses immondices pour mieux se gargariser de son évanescence, un prurit de nains affligeants dont les arcanes sont sans mystère pour qui veut les regarder sans baisser les yeux, ce que malheureusement tant et tant ne font pas, par peur ou par terreur de comprendre l’indicible.

Il y a là le cœur matriciel et ses organdis, ses parures et ses passementeries qui affleurent parfois dans la déliquescence réunissant leurs mages hideux et leurs valets stériles, n’ayant pour étendard que la mise en esclavage, tels dans ces sommets les réunissant, au nom d’un réchauffement planétaire naturel, au nom d’une économie mondialisée parachevant leur monde de servage. Ne cherchez l’intelligence dans ces semis croupis où la corruption et le mensonge sont des attraits, des lumignons tendus vers les Peuples à soumettre pour les voir traits comme des animaux, afin de voir reluire leurs commanditaires dans la luxure, dans ce naufrage de l’esprit où se congratulent ces festifs de la destruction, ces tares de l’humanité, ces choses sans utilité, substituables à souhait, gitons de foires élus par des machines dont les programmes sont truqués afin de révéler non pas leur honneur, mais leur déficience mentale tenue par ses vices et ses crimes.

Le cœur est là de cette vassalité, de cette déroute de toute destinée civilisatrice, il n’y a plus rien que puisse faire un être sans devenir le sujet de ce ricanement incestueux, de cette délirante affliction qui, comme la lèpre, couvre la terre du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest, hors quelques Nations ayant compris la thématique de l’outrage, et s’en gardent fièrement, même si elles sont molestées par l’invective, par les amendes, par la haine ancestrale et atavique de celles et de ceux qui ont fondu sur l’Humanité, en s’en déclarant éligible, dans le plus grand mépris de la réalité humaine, dans cette souillure de l’esprit, née de l’incorrigible défaut unitaire du corps, de l’esprit, de l’âme, en rejet perpétuel par la bassesse et ses facettes multiples, où se retrouvent en chœur, spiritualistes inverses n’ayant de goût que pour la matière, matérialistes inverses n’ayant de sens que pour l’abstraction spirituelle, et ces primitifs hautains et prétentieux aux regards bovins, petits serviles des deux premiers, car dans l’incapacité de survivre sans leur regard obligeant.

Voici la terre et cette espèce qui se désigne comme grand de ce monde, élite dit-elle, alors que ce n’en est que la poussière, car invariante dans son incapacité à créer quoi que ce soit, parasite visqueux et qui deviendra délétère lorsque auront compris les êtres de la Terre qu’ils ne tiennent que par l’abstraction, la monnaie et l’usure sur la monnaie, ce dérivé de leur sensualité leur permettant d’assouvir, sans freins, toutes leurs audaces mortifères, telle celle que nous voyons à l’œuvre actuellement, au niveau sanitaire, qui n’a d’autre but, via des injections létales à court et moyen terme, de faire disparaître ce qu’ils appellent les bouches inutiles, pour ne conserver que ce qu’ils veulent à leur service économique ou sexuel, ce qu’ils désirent comme esclaves à plein temps pour en jouer indéfiniment.

La voilure de leur crime contre l’Humanité se révèle dans la barbarie sulfureuse, dans l’hypocrisie dantesque, motivée par quelques groupes de pression, aux noms usurpés, Parsifal, Montesquieu, Valhalla, Der Ring, Thomas Paine, Joseph de Maistre, Edmond Burke, Arjuna-Phoenix, Leviathan, Josep de Maistre, Pan-Europa, Caroll of Corollton, Lux ad Orientem, Three Architects, Three Eyes, Amun, White Eagle, Tao Lodge, Hathor Pentalpha, Maat, Atlantis Alethia, Babel Tower, Benjamin Franklin, Compas Star Rose-Rosa Stella, Crhistopher Columbus, Daath, Ecclesia, Ferdinand Lassalle, Fraternité Verte, Geburah, Ghedullah, Golden Eurasia, Hiram Rhodes Revels, Ioannes, Ibn Arabi, Janus, Newton-Keynes, Simon Bolivar, etc. où se retrouvent ce jour quelques financiers et politiciens et affairistes, intellectuels ou non, qui par leur tiraillement interne ou externe, suivant leur puissance ou bien leur impuissance, déclinent ce monde, prouvant si l’en était que le cœur de ces tremplins est désormais sous l’autorité de la seule dictature, déclinée via les outils de ces supports, redéfinissables à l’envie, disparaissant, reparaissant sous d’autres noms, dont la majeure armée se retrouve dans la franc-maçonnerie spéculative qui tient dans ses griffes de fer et de sang, par prostitution des âmes, un ensemble de nations, notamment dans notre espace géopolitique occidental.

Ce qui est apparent est caché, ce qui est caché est apparent, il n’y a rien de nouveau sous le soleil noir de la contrainte, qu’il soit national socialiste ou bolchevique, socialiste ou communiste, transhumaniste ou trotskiste, ces ismes sont les doigts sur la couture devant ces prétendants oligarchiques à la direction de l’espèce humaine, et ce jour on peut sans problème les voir dans toute leur dimension, celle de la destruction qui est leur pivot, leur art, leur fluidité, car sans elle ils ne sont rien, sinon que la vermine de ce monde qu’ils souillent de leur propagande, de leur mensonge, de leur génocide, se cachant derrière des lois factices, votées par leurs sœurs et frères en loges, qui ne résisteront en aucun cas aux lois humaines, qui se chargeront de leur jugement, le jour venu, tant leur nombre ridicule devrait interroger tous les Peuples et l’Humanité.

Si les Peuples veulent survivre face à leur entreprise de destruction des corps via l’injection de produits létaux, des esprits, via cette chose que l’on nomme woke, des âmes via l’implantation forcenée du satanisme ridicule, (l’ange de lumière déchu doit se retourner devant ce que l’on fait en son nom), ils doivent prendre conscience de leur puissance, cette puissance tenant dans le nombre, dans l’égrégore qu’ils peuvent manifester, multipliant leur potentiel et non le réduisant, unifiant leur célérité dans l’action méthodique qui pourra éliminer la moindre scorie de ce globe, afin de le faire resplendir par l’élévation de tout un chacun, par cette rémanence issue de leur singularité, totalement voilée ce jour, leur Identité qui n’est pas née pour être esclave de la médiocrité et de ses emballements.

Égrégore donc, par le don de chacun à chacun, qui passe par la recherche de la légitimité réelle et non abstraite, par un contre-pouvoir naturel édifié en chaque creuset des civilisations, là où rien ne s’attend de la part des despotes et des tyrans, dans le cœur lui-même qui n’est pas la prostration ni le statisme, mais de nature à unir ce qui est désuni ce jour, l’être en ses respires, le corps, l’esprit, l’âme, les êtres en leur souffle, la matière, l’énergie, transcendés par l’Art, l’Art de se diriger, l’Art de diriger, l’Art de bâtir et non de dissiper, de détruire, et de désintégrer, cet Art qui, métapolitique en essence, doit se retrouver substance politique, celle qui ne se laisse contraindre par des us et coutumes aberrants, liés aux appartenances, affluant la médiocrité par excellence, mais bien les dépasser en élisant la seule capacité, cette capacité sous observation d’un contre-pouvoir inflexible délaissant la corruption et la fraternisation dans la corruption, pour retrouver le sens de l’honneur et de la grandeur, du dépassement du moi vers le Soi qui est le seul opérande de ce monde comme des autres mondes, permettant l’élévation de tous.

Ainsi ne faut-il pas être grand clerc pour convenir que face aux tribulations de l’anarchie bolchevique, transhumaniste, socialiste, communiste, trotskiste, cette union doit se développer en dehors des arcanes d’un mondialisme soumis à ces prétentions idéologiques nées d’un complexe d’infériorité se targuant d’une supériorité inexistante, et ainsi renverser à jamais cet effritement de la conscience, cette aberration monumentale inscrite dans des gènes impotents, des adn sous développés, lieu et lien d’une fin de race consanguine sans le moindre intérêt pour le devenir de l’Humanité, de ses Races, de ses Peuples, de ses Ethnies, de ses Nations. Il y a lieu ici de se battre avec la volonté et la compassion, dans l’exercice serein de la Paix, pour la Paix et dans la Paix, pour la Vie, en la Vie et pour la Vie, pour ses enfants, ses petits-enfants, qui n’ont pas à être les gitons et les kleenex de ce un pour cent de dégénérés qui, par le vol issu du viol des ressources de la terre, aujourd’hui voudrait les voir devenir leurs objets, asexués, genrés, débiles profonds acculturés et illettrés, pauvres choses sans la moindre personnalité, corvéables à souhait par leur lie de bestialité.

Les arcanes sont profonds, il faut pour chaque Peuple en comprendre le mécanisme, en insinuer les masques et en définir les autorités à mettre en lumière, à exposer sans répit, jusqu’à ce qu’elles ne puissent plus faire un pas dehors sans être suivies, dénoncées pour leurs crimes, dénoncées pour leur corruption, dénoncées pour leurs vices, tels qu’on peut le voir, d’une manière encore balbutiante, actuellement sur les réseaux sociaux libres, où des listes de noms apparaissent qui couronnent leurs actes méprisables par des votes ignobles, spongieux de ce qui leur sert d’esprit, de cette répugnance qui est additive d’un comportement bâti sur le vide et ses assomptions, cette fange indissociable qui les lie et les relie. Des listes donc, mais pas seulement, des bases de données mondiales permettant de cibler toutes les postures, tous les actes de cette fébrilité monumentale qui s’imagine plus grosse que le bœuf et en surajoute sur ses incapacités et son génocide.

Infiltration, insinuation, tout doit être utilisé pour aller au plus profond du cœur de cette invective, de cette injure contre l’humanité édictée par la soldatesque des quelques comités qui s’imaginent le centre de ce monde, et notamment dans en provenance de cette maçonnerie purulente du sang des innocents, via ses cohortes mortifères, assénant pour libération l’euthanasie, l’avortement des enfants jusqu’à neuf mois, - pour se nourrir de leurs cellules ? – dont les victimes servent d’engrais sur les visages de la laideur sous humaine qui pavane sur touts les écrans et dans la société dissonante où ne se reconnaissent que les valeurs en portefeuille et en aucun cas les valeurs de l’intelligence. Il faut éradiquer le mal, là où il se situe, dans cette prétention qui est soldatesque, qui doit répondre de ses crimes comme devront répondre de leurs crimes les politiciennes et politiciens servant la géhenne de ce monde.

Exposition, infiltration, union des capacités, scientifiques, artistiques, philosophiques, métaphysiques, voici les creusets qui doivent se répandre dans toutes les Nations, afin de préserver la Culture singulière comme universelle, et l’enseigner, et ainsi permettre d’éradiquer définitivement les pulsions grotesques et barbares des satrapes qui immolent cette Terre. Il n’y a d’autres alternatives, les réactions violentes ne permettant que de faire des martyrs de toute cette révulsion qui se veut dirigeante, le mieux pour tout un chacun étant bien au contraire de les voir s’agiter dans leur chenil, les dévisager, leur demander des comptes, les juger quand il le faut, comme il se doit, mais en aucun cas effleurer leur chair adipeuse et scrofuleuse, ce qui ferait de leur hystérie naturelle le pivot encrassant encore la cervelle des jeunes de ce temps. En chaque Nation il convient de créer les bases données additionnant leurs vices, leurs crimes, leurs malversations, tout doit être caractérisé et exposé devant le monde entier, sans que le moindre grain de sable ne vienne enrayer ce process, qu’il convient d’accélérer méthodiquement via la création d’une intelligence artificielle, au service des êtres humains, dédiée, permettant de reconnaitre chaque nanoseconde les faits imputables, qu’ils soient économiques, financiers, ou de vie individuelle.

On notera que cette création d’une intelligence artificielle éthique au service de l’Humain et en aucun cas à son détriment, aura pour action singulière celle de contrer toutes les intelligences artificielles crées pour la mise en servage de l’humanité, permettant ainsi de faire disparaître ses moindres activités, où qu’elles soient, quelles qu’elles soient, dans les domaines de la surveillance, dans les domaines de la culture, dans les domaines multiples que cherche à détruire cette imposture venue du néant, créée par le néant et devant retourner au néant absolu. La guerre déclarée par ce un pour cent doit être et sera gagnée par la puissance multipliée des Peuples dont la majorité n’est pas sous la torpeur et la domination délétère de l’impuissance congénitale qui se veut dirigeante. La survie de l’espèce humaine est en jeu, et ces quelques jalons permettront dans la concertation de voir s’établir sa pérennité au-delà des abstractions et de leurs phénomènes disruptifs dont nous vivons l’apogée actuellement.

La nature est parfaitement régulée et revient toujours à l’équilibre quelques soient les tentatives tendant à la soustraire à sa viduité. L’humanité aujourd’hui doit canaliser ses énergies afin de mettre un terme à ce qui cherche à la détruire, à ceux qui cherchent à la détruire, il n’y a pas d’alternative, la légitime défense est un droit naturel contre lequel personne ne peut s’opposer sauf à s’opposer à la vie elle-même, ce que nous voyons actuellement simulée par une sous-espèce, car dans l’incapacité atavique de créer quoi que ce soit, dont la Vie doit remettre à sa place les projets d’expansion, qui en vérité verront la disparition totale de l’humain sur cette planète si le laisser aller l’emporte sur la réalité. Car il n’y a pas de place dans l’univers pour celles et ceux qui cherchent à détruire la Vie, et la Vie toujours sait se défendre contre ces oripeaux qui veulent la conduire dans le néant physique, intellectuel, spirituel. Le carcan qu’ils instaurent doit être décimé à tous les niveaux et il le sera car ce dont ne disposent pas les tenants et aboutissants de ce carcan, c’est l’intelligence tout simplement de la Vie, qu’aucune intelligence artificielle ne pourra atteindre, car infirme de par la volonté de la Vie qui ne s’égale pas, ne se discrédite pas, ne se dérive pas, n’en déplaise aux impotents de sa condition cherchant refuge dans les noirceurs des abîmes »

L’humanité est face à son destin, soit elle se prend en main et se dirige vers l’évolution, soit elle sombre dans l’involution et alors elle disparaîtra définitivement. 

© Vincent Thierry