Involution

Involution

Petite nouvelle de cette petite terre où l’on voit en pleine lumière les exactions de la bestialité en marche, mais lisons :

« Le monde est énergie, prenant des arcanes un flux positif, négatif, médian, toujours en action œuvrant dans la définition même de l’évolution, de la régression, où de la désintégration, luttant perpétuellement pour se hisser via ses supports, quels qu’ils soient, vers la lumière parfaite, lieu de sa naissance comme de sa transmutation, après des ères manifestant la conscience et au-delà de la conscience la surconscience nécessaire à son intégration dans l’Absolu, son Créateur. L’Humain est racine et développement, support indissociable de sa pérennité, ou bien de sa dissolution, dans le cadre de l’éternelle liberté d’action qui meut toute existence, de l’infime particule aux super amas de galaxies, de l’univers aux univers multidimensionnels qui sont sa source, ses racines et son devenir.

L’Humain est multidimensionnel, croissance ou décroissance, toujours à la pointe de la forge qui terrasse le néant, ou bien se perd dans ce néant suivant ses incapacités motrices liées à ses distorsions unitaires le menant aux seules ressources de l’instinct primaire, ou bien aux exactions spiritualistes ou matérialistes qui découlent de la désintégration de son homéostasie plénière, le réduisant à l’état d’esclave et dans l’image même de cet état tyran et dominateur de sa propre impuissance.

Les civilisations sont les histoires de cette infirmité ou bien de ce rayonnement, ce jour dans la nuit profonde en Occident, où le négatif est sans sursis et emportera toutes désinences contrites dans la distorsion et ses effectives impuissances, marquant ainsi le stade régressif porté par le néant qui brille de tous ses feux dans l’ordination esclavagiste qui pullule ses autorités, dans le silence, dans ce mensonge innervant un conte à dormir debout pour les humains sous son joug, voyant de chacun d’entre eux non plus des Êtres multidimensionnels, capables d’appréhender les Univers et de s’y inscrire, mais des larves inscrites au sommet de l’aberration matérielle définissant par leur numérotation leur centre de profit pour la manifestation de la tyrannie la plus implacable, bâtie sur l’involution la plus ténébreuse comme la plus génocidaire qui soit.

L’humain en ce cycle inverse est éduqué à l’obéissance dans des croyances œuvrées, sans mystères, par des normes qui ne sont que des paliers menant vers la destruction, là où il devrait être éduqué pour s’élever et élever tout ce qui est autour de lui, la destruction de lui-même comme de son environnement, au nom de l’abstraction la plus dérisoire qui soit, l’échange par l’intermédiaire du papier-monnaie sur lequel l’usure prend sa dîme dans le flou le plus composite, organisé par la propagande la plus absolue, mettant en ordre de bataille les êtres contre les êtres, et non les êtres contre la tyrannie monétaire et ses féaux qui veillent à leur mise en esclavage.

Cette aberration mentale fait feu de tout bois depuis des millénaires afin de s’arroger la puissance et dissoudre la vie dans la fange qui lui correspond, celle de la bestialité accouplée à l’onirisme de l’horreur, composite du meurtre rituel, de l’anthropophagie, de l’encadrement des ressources énergétiques, qu’elles soient humaines ou environnementales, dans le masque invariant éclairant ses maux d’une probité exemplaire, manifestant l’incitation à croire qu’elle est innocente, lisse et majestueuse,  afin que tout un chacun applaudisse ses demeures, qu’elles soient royales, impériales, républicaines, pauvres noms sans la moindre consonance aujourd’hui, sinon celle de la déliquescence la plus ignoble qui soit. Paraître inamovible voyant les esclaves réduits à admirer leur progéniture, sans comprendre un seul instant, dans un complexe de Stockholm parfaitement ajusté, qu’ils en sont les larves officiantes les plus négligées.

L’ignorance de l’humain est le maître mot de cette institutionnalisation de ce manichéisme grossier, où les valeurs sont inversées, voyant l’assassin couronné, le pédophile admiré, toute déviance sexuelle encensée, - on notera que certains humains aujourd’hui parlent à leur chien comme on parle à un enfant, quand ils ne se font pas prendre par leurs animaux – mais là n’est pas le tout, l’acculturation y devient un principe, une exigence, afin de mieux formater les larves devenues qui sont pleines d’empathie pour les riches esclaves en partance de continents lointains, et n’aident en aucun cas les pauvres hères qui crèvent de faim et font les poubelles pour se nourrir qui sont à leur portée, jusqu’à voir des nantis vouloir faire la leçon de morale à des Peuples qui se défendent contre leur mise à mort décrétée par la perversité la plus totale, luciférienne dévoyée, qui règne dans les Institutions dites internationales, qui ne sont que des repères de la boue qui s’alimente, se circonscrit, s’additionne, afin de faire régner son régime désaxé et putride.

Ce bestiaire se protège, par agression mentale via des œuvres de propagande inouïes, via des masques et des tueries, comme on peut le voir dans l’affaire d’un pédophile milliardaire,   où le temple sacrificiel de son île de zoophile est omis pour ne pas mettre sur le devant de la scène les crimes commis par la barbarie qui le compose, dévouée aux énergies les plus négatives qui soient qui n’ont d’autres buts que la disparition de la vie au profit de leur néant, temple accueillant tels dans les temps antiques le sang des enfants, massacrés pour tenir par leurs instincts les protagonistes afin qu’ils servent et servent encore la bestialité de leurs maîtres, un lieu putride où a été reçue toute la nomenklatura de l’eugénisme, du meurtre de masse, de cette pseudoscience que l’on nomme le Transhumanisme,  idéologie de l’incapacité la plus notoire ayant besoin d’une cane pour marcher.

Ce bestiaire se protège, par agressions physiques via des vaccinations massives à l’aluminium des enfants, via le déversement continu de baryum, d’aluminium et autres produits dans l’atmosphère afin que les masses n’aient plus la moindre faculté de cognition et, nonobstant les maladies auto immunes que déclenchent ces déversements, soient vidées de leur énergie pouvant les mettre en face de la réalité, cette réalité chassée du regard qui les fait accepter la viande pourrie aux hormones, les poulets lavés à l’eau de javel, les pesticides les plus glauques qui soient, le pillage de leurs ressources, la vente de leur industrie, le marché aux esclaves entretenu journellement par des médias spongieux, qui les fait accepter leur culpabilisation dans le mensonge absolu concernant le réchauffement planétaire dû à l’activité humaine, qui leur fait accepter leurs chaînes d’esclaves, de bons esclaves qui paient la dîme aux usuriers via des intérêts indus.

Dans ce bestiaire l’Humain est en dessous de l’animal, une chose brute qui se dissout et dont les réactions sont abstraites dans des dualités composites créées de toutes pièces afin qu’il ne voie qui est son tyran et ne puisse ainsi ne pas se révolter contre sa domesticité. Ignorant sa capacité énergétique, ses multidimensions, son unité novatrice, lui permettant de s’élever, il sombre comme un navire sans voile dans les tempêtes nauséeuses créées à son intention afin qu’il disparaisse le plus rapidement possible, accueillant sa mise à mort via des guerres inutiles, tendant la gorge au djihadisme en col blanc qui pourrit toutes les institutions à l’ouest de ce monde, s’imaginant une élite alors que ce n’est que la dépravation la plus globale qui soit, car une élite œuvre pour l’élévation de l’humain et en aucun cas pour sa mise en servage et en aucun cas pour sa mise à mort.

Dans ce bestiaire, l’humain tente de survivre, s’inventant un devenir qui toujours s’affaisse dans le néant qui l’aspire et le détruit, ayant en face de lui la carapace d’une autorité indue manifestant ses degrés via des chiens de guerre aux ordres, des tueurs formés pour la chasse, des tueurs, à l’image de leurs maîtres qu’ils ignorent, qui fructifient l’ordure, le déshonneur, la honte en la croyant lascive de leur prurit nauséeux qui est celui de la vermine qui souille ce monde, une vermine induite et non négligeable qui ruisselle ses actes dans la fourberie la plus totale, née de sectes dont l’opulence engraisse la bestialité et ses affairistes, ses croupions d’immondices qui sont le nectar des avariés de ce monde, dénaturant tout ce qu’ils touchent, que ce soient le monde associatif, le monde maçonnique, le monde des sociétés de pensées, tous devenus les îlots de la perversion, où thanatos, enseigne le délire ascensionnel de la tuerie méthodique par avortement, euthanasie, sédation des infirmes, par la déviance comme l’anomie sexuelle, par cet arbitraire qui sied au néant qui est le maître absolu de ces pauvres sociétés qui ne sont plus que l’ombre de ce qu’elles furent, sous le joug de la bassesse et de l’ignominie qui en ont pris les rênes.

Face à ce bestiaire, il n’est que de se hisser, aller, tel l’aigle au-delà de son marasme, de ses puisatières contritions, de ses épanchements douteux, de ses remugles infestés de charognes, et n’accorder son chemin que dans la Voie de la Vie, devenir de l’Humain qui se respecte, est debout au milieu des ruines qui transpirent la puanteur la plus anachronique qui soit, celle d’esclaves en prostration devant les idoles les plus bestiales qui soient, et qui agissent comme tels dans le phare de leur croyance déviante et culminante les noyant dans l’aporie, l’indécence, qui les verra putréfaction, ce qui est rassurant, car dans ce jour, où pour imager nous sommes au fond de la piscine, l’humain ne peut avoir qu’une réaction salutaire pour se sortir de ce fléau, et cette réaction, bien plus rassurant encore, existe et est en œuvre déjà sur plus de la moitié de cette planète livrée à la folie de la désincarnation dans l’abstraction, un nid d’aigles qui terrassera ses nids de corbeaux, ses flux d’énergie ne se laissant prendre aux pièges de leurs leurres ridicules. »

L’énergie est fluide lorsqu’elle construit, bloquée et régressive lorsqu’elle détruit, ainsi la Vie doit prospérer dans la fluidité et non se cantonner dans des nœuds mortifères qui inclinent à sa disparition. Chaque existence est énergie et participe par sa fluidité à l’évolution vivante, ainsi doit-elle s’efforcer à naître à cette fluidité qui lui permet d’embraser le tout et ne pas se cantonner dans l’abstraction induite par la régression. Au regard de cette petite planète perdue dans les confins d’une galaxie qui n’est qu’une particule dans l’Univers, lui-même une particule dans les Univers, on peut voir que l’évolution lutte contre l’involution, espérons que cela perdure. 

© Vincent Thierry