La Liberté de s'exprimer

La Liberté de s’exprimer

 

La liberté de s’exprimer devient de plus en plus tendue en France. Lorsqu’un footballeur décline un moyen pour remettre à leur place les parasites de ce monde, il se fait tancer par un représentant de l’État aux ordres de la nomenklatura apatride ? Qui se veut maîtresse de ce petit monde. De quel droit cette remarque ? Par quelle autorité ? Il convient de bien prendre la mesure de cette déclaration particulièrement anti démocratique, et bien entendu irrespectueuse de la liberté de penser, qui ne fait l’objet d’aucune plainte pour discrimination d’opinion par les thuriféraires de la bigoterie exogène, pensez-vous le penseur est un Français !

Mais il est vrai que dans notre Pays on ne défend que ce qui ne lui appartient pas en propre. Demander au tancé de s’occuper de football et en aucun cas d’économie est la forme du vocabulaire la plus méprisante qui soit dite à un citoyen par ce représentant de l’État, des banques ? Représentant qui a oublié une seule chose, que chaque citoyen peut se mêler de l’impéritie dictatoriale économique afin d’en évacuer les scories, que par ailleurs il n’est strictement rien sans le Peuple, un grain de poussière parmi d’autres qui tente de conserver à ce système répugnant de l’usure une continuité alors qu’il devrait être régulé et conjointement remis à sa place quant à l’émission de monnaie qui appartient aux États, donc aux citoyens.

Ce que ce "représentant" se garde bien de déclarer. Les Citoyennes et les Citoyens ne sont pas les esclaves des banques et de leurs féaux. Je crois qu’ici ces insinuants dans le pouvoir du Peuple ont dépassé les limites de l’acceptable. Le Rubicon est franchi, et n’en déplaise à toutes les panoplies politiques féales de ce système économique à l’agonie, les Citoyennes et les Citoyens de notre Pays sont en droit de penser et initier des actions tendant au rétablissement de l’Économie avec E majuscule dans notre Nation, en créant les conditions qui permettront de se libérer de l’esclavage qu’ils défendent.

L’argent de chacun n’appartient en aucun cas aux banquiers qui se régalent en se versant des milliards de bonus sur le dos de celles et ceux qui déposent chez eux, cet argent appartient aux Citoyennes et Citoyens, et c’est bien à raison devant l’outrance de ces personnages que le footballeur demande que tout un chacun retire son argent de ces banques qui ne sont là que pour profiter par l’usure, parasites qu’il convient de destituer. Que fera-t-on de l’argent ?

Et bien tout simplement, il sera déposé dans une banque Nationale dont les propriétaires seront chaque déposant, contre-pouvoir naturel à la gabegie internationale, qui pourra financer chaque porteur, mais aussi financer des travaux d’importance nationale. Eh oui, il serait temps que ces mystiques du veau d’or comprennent qu’ils peuvent disparaître du jour au lendemain, que cela en aucun cas ne gênera la marche de l’État, je rappellerai ici que l’État est au service du Peuple et non du parasitisme, il y a des dizaines de millions de citoyens qui sont prêts à remplacer les tonalités et les nuances de cette hérésie qui se voudrait dictature, dans tous les domaines d’activité, afin de hisser le Peuple et non l’ensevelir dans le marais fétide de l’accroire, de l’illusion, de la fantasmagorie.

Que d’aucuns se croient des lumières, et s’imaginent que le Peuple soit ignare, il y a là bien l’étalage d’une stupidité qui ne surprend plus, tant elle est une constante de la médiocrité. D’ailleurs à l’image de la réplique, on pourrait demander aux avocats de se mêler de péroraisons d’avocats et en aucun cas d’économie, mais ce serait là donner de l’importance à ce qui n’en a strictement aucune, et l’Être Humain a bien autre chose à faire que de se perdre dans la lie domestique qui veut régir ce qui reste de la Nation, afin très justement d’en nettoyer les écuries en portant des initiatives populaires, et non populistes (injures gratuites de l’atavisme de la prétention dictatoriale qui sévit actuellement), permettant d’éradiquer le venin qui pollue ce monde, et dont les Porte-drapeaux sont en toutes strates nationales comme internationales, banque "européenne", FMI, jusqu’au sein des gouvernements divers dont certains représentants dans le domaine de l’économie sont la plupart vendus à la castration de la volonté, ces sociétés de pensées défendant la Voie inversée, elles-mêmes jeux de dupes de certains financiers qui n’ont d’autres prétentions que de réduire l’Humain à l’esclavage le plus pernicieux.

Un mot de trop donc de cette médiocrité régnante dont il conviendra d’obtenir des excuses en respect de la Démocratie, car de quel droit un citoyen peut-il être traité de la sorte dans un Pays qui doit respecter la Liberté de penser ? Faut-il que l’agresseur se sente protégé par la ribambelle qui s’agite pour détruire les Nations, tigres de papiers qui manient l’intimidation, le vol, le casse, le braquage, le meurtre à la ressemblance du crime organisé.

Personne n’est dupe des cambriolages à répétition dans les journaux libres, chez les hommes politiques, personne n’est dupe sur les "accidents d’avions", personne n’est dupe sur l’utilisation de tueurs patentés, telle celui qui a assassiné un des scientifiques remettant en cause le 9/11, personne n’est dupe sur la "mort" de soixante-dix scientifiques à travers le monde travaillant sur des sujets sensibles depuis 2004, ainsi que sur l’assassinat de 349 scientifiques Irakiens, personne n’est dupe, sans compter les mystères des disparitions précoces de certains hommes politiques, et la liquidation de certains journalistes sur Internet dont la mort est déguisée en suicide.

Le Public sait à qui il a affaire, et c’est bien pour cela qu’il y a des mots de trop qui ne font que le confirmer dans cette opinion que personne ne contrôlera, au même titre que l’action de wikileaks actuellement, car pour contrôler l’opinion il faudrait euthanasier tout le monde, ce qui n’est guère possible à une minorité, car ne l’oublions jamais ce n’est qu’une minuscule minorité, qui bientôt retournera à ses chères études devant le règne de la quantité qui s’apprête au juste combat de sa survie, et par là même de la Vie, face à l’aberration qui voit ce jour un représentant de l’État, dans l’irrespect total de la Liberté de penser, tancer un citoyen Français pour ses opinions.

Nous ne sommes ni sous le règne de la Tcheka, ni sous le règne de la Gestapo, et les Citoyennes et Citoyens de notre Pays n’ont à recevoir de personne la moindre remarque sur leurs innovations économiques, et encore moins de la part de celles ou de ceux qui insinuants les gouvernements sont totalement inféodés par sociétés de pensées interposées aux tueurs nés de nos civilisations, de nos Nations, de nos Identités, de notre force Économique.

© Vincent Thierry