Politique ?

Politique ?

 

La Politique pourrait être aristocratie, plénitude de l’Art de diriger la Cité, engagement de la vertu et synonyme de la Voie, la Voie étant prise ici dans le sens de la direction permettant l’épanouissement des Êtres Humains. Au lieu de cela, nous assistons, nous ne le dirons jamais assez, à une régression permanente de cet Art souverain, qui se résume globalement à l’apparence. Le m’as-tu-vu est désormais le principe de la direction, ceci étant quoi de plus normal lorsque l’acte de construire n’est pas au rendez-vous, laissant la place à l’acte de destruction des valeurs innées, à ce socle de la Vie, qui ce jour non-évolution régresse vers ce point limite advenant une contraction dimensionnelle qui lui restituera sa densité. Désintégration des valeurs, l’individu, les Ethnies, les Peuples, les Races, l’Humanité n’existent plus pour les prêtres de Thanatos, gardiens d’un Ordre sans lendemain, qui exacerbent leurs pouvoirs sur les ruines des civilisations qui laissent sans voix les Humains qui, ce jour, confrontés à une perversion sans limite ne peuvent trouver parade que dans une inertie extraordinaire, cette inertie qui résume la faillite des monopoles qui s’instaurent.

La Démocratie en ce lieu n’existe que par son nom et en aucun cas dans ses actes. Nous assistons à son délitement, les Peuples n’ont plus droit à la parole et lorsqu’ils la prennent pour dénier à la dictature son droit de poursuivre sa destruction, ils sont sujets à tous les griefs, toutes les avanies, tous les résumés de la vindicte de cette dictature qui occulte son nom sous les avatars de l’illusion, ce vent sablier qui précipitera sa descente aux enfers de sa propre turpitude, et qui verra ses caciques se retrouver dans une solitude sans nom, prémisse en leur folie de la folie dominante qui sera destituée au profit du réalisme, de cette réalité qui confondra leur virtualité et leur façade sans consistance, sinon celle de la domination pour la domination, de la destruction pour la destruction.

La France, laboratoire de ce délitement, se montre dans la splendeur déchue de ces actes sans nombre qui sont les fourriers de la désintégration d’un Peuple, d’une Histoire, d’un avenir. Encouragés par la reptation affolante des parasites qui affluent le centre du pouvoir régalien instauré par le mensonge et l’illusion, dont nous voyons la mesure de l’infamie exploser ses scories, ses dénatures et dans l’apogée de ses fonctions initier la désintégration totale qui doit être faire valoir de chaque Peuple de ce temps, en ce lieu que l’on nomme la Terre. Firmament de la destruction, notre Pays qui a valeur de lumière des temps, se retrouve carcan de la nocturne allégeance à ce qui n’est pas sa réalité, mais bien à la composition de ce qui fuit sa densité, le parasitisme, le paraître, l’illusionnisme, cour des miracles de l’atrophie régnante, issue de ce qui n’est pas la France, mais bien au contraire de ce qui est l’irréductible ennemi de sa Liberté de conscience, d’expression, et de rayonnement.

Nous y voici, et les voici sortis des limbes de ce chancre qui obstrue la raison, sida par excellence de l’action, en action dans le corps malade de notre France de leurs pustules et de leurs gangrènes, pressées de voir taire à jamais la luminosité de la parole d’Être, regardez-les, ils se pressent pour distiller leur venin, agonir toute phase de l’évolution de notre Peuple en l’irradiant de leurs semences sulfureuses, pluies de Lois iniques destituant la raison pour l’apparat de la mort, Lois fustigeant la Vie, et le devoir de Vivre. Lois labourant la chair de notre Peuple pour ensemencer les graines de la discorde, de l’immolation, de la cupidité, de l’avarice, de la jalousie, de la médiocrité, cette médiocrité portée aux nues par la médiocrité triomphante, là, par la mise en œuvre de la désintégration du pouvoir de vivre, par l’immolation des trente-cinq heures, ici par la mise en œuvre, carcans de l’exploitation totale des cadres de ce pays, de Lois régressives issues de la perversité ayant pour but la mise en esclavage de tout un Peuple, esclavage à l’argent Roi, esclavage aux taxes, à l’imposition, à ce racket permanent institué comme valeur suprême et souveraine de l’État qui se voit lui-même réformé pour la mise en place de parasites.

Nouveaux commissaires politiques, qui appartiennent à la faction qui se dit élue et qui ne représentent rien dans ce jour de désastre consommé. Et lorsque l’on pense que les institutionnels de cette pente menant à l’esclavage, mentors de l’agonie sont issus de ces loges qui se sont battues contre l’esclavage, on peut se dire que ces loges sont tombées bien bas pour accueillir ces phénomènes qui souillent de leur présence les idéaux de la Franc-Maçonnerie ! Mais cela est dans la juste dépendance des institutions humaines, ces jours inféodés aux reptiles et aux scorpions qui les phagocytent, comme autant de microbes qui tissent leurs tentacules pour mieux obérer les chemins de la Liberté !

Droit de vivre donc, ce jour dans les pentes de l’oubli, renforcées par les voix médiatiques qui hurlent pour qu’après l’avortement l’euthanasie soit la panacée de nos civilisations, la culpabilisation la grande maîtresse qui ornemente le rêve babélien de la débauche qui se veut dirigeante des destinées Humaines ! On pourrait s’en amuser si cela ne suait pas la mort, la pauvreté, la désintégration de nos valeurs, de nos sources, de notre devenir ! Devenir sans lendemain au regard de la destruction de nos armées, devenir sans lendemain au regard de la destruction de nos services publics, de nos hôpitaux, de tout ce qui a fondé la France dans sa réalité, destruction des souches civilisatrices par incorporation forcée d’une immigration délirante, destruction totale ? Non. La France a connu d’autres débats aussi virulents, et s’en est toujours remise, et ce ne sont ces assauts perpétuels contre sa densité qui permettront de faire faillir sa rémanence formelle qui elle, est inattaquable, car innée dans le cœur même de ce qui fonde sa réalité.

En respect de ce qui n’est plus respecté ce jour, la Démocratie, elle, saura attendre son heure pour balayer les scories qui veulent l’anéantir, destituer ces lois de la médiocrité, déchirer ces traités iniques qui la livrent pieds et poings liés à la folie de ce mondialisme inversé qui ne voit dans l’Être Humain que le non-être, l’esclave parfait soumis à la létalité de pouvoirs sans nom, sinon celui de thanatos. Cela n’est qu’une question de temps, les échéances sont proches, et dans ces échéances à venir sera-t-il judicieux de reconnaître les appartenances afin de ne pas se retrouver à nouveau dans la conjuration de cette désintégration qui pavane. Le Peuple se doit d’élire les tenants et les aboutissants du Peuple, et en aucun cas les participes de cette désintégration. Ce n’est qu’à ce prix de la visibilité des prétendants au pouvoir, que la France renaîtra.

Une France dépouillée des scories qui l’amenuisent, des chancres et des bubons qui à la ressemblance de la grenouille se veulent plus gros que le bœuf, mantisses de profits sans noms profitants à ce marais fétide où se goinfrent les parasites en tout genre au mépris du Peuple, les truands serviles, les carnets d’adresses qui exultent, pourrissoirs de la France qu’il conviendra de nettoyer comme les écuries d’Augias, en lesquelles la vermine a trouvé son nid. Ce temps viendra fort et pur de la vindicte populaire, du réveil de la conscience citoyenne, qui enfin, d’un seul élan réduira à néant la folie sablière qui englue la France et son devenir !

En attendant, détruisez, continuez à détruire, nous aurons encore plus de cœur à l’ouvrage pour construire sur ces ruines que vous amoncelez devant nos yeux, l’Histoire, avec un H majuscule, saura vous juger, tels que vous êtes, fourriers de l’esclavage permanent, que chaque Être Humain, aux accents de la Liberté, se doit de combattre, dans la légalité la plus transparente, en respect de la Démocratie la plus épurée, sous peine de se renier lui-même.

© Vincent Thierry