Les métastases

Les métastases

Petites nouvelles de cette petite Terre où l’on voit s’y instaurer la barbarie pédante et sanguinaire dans de multiples nations soumises à des sectes dont la purulence n’est plus à démontrer. Mais lisons :

« La débilité profonde induite par la terreur initiée par la prêtrise de la mort en gouvernance, petits maçons avariés, sectes putrides et mortifères, au demeurant maîtres d’un génocide qui devient planétaire, et qui pour cela rendront des comptes, la peine maximale devant leur être imposée militairement pour crime contre l’humanité, la débilité donc, fait des ravages peu communs au motif d’un virus qui disparaît lentement et sûrement comme ses congénères sur la planète Terre.

L’idéocratie et la crétinisation sont en cours masquant les crimes de ces dégénérés signant des décrets appliquant la peine de mort par faute de soins et injection de produits euthanasiant à toute une population, voyant la moindre réalité échapper au particulier qui ne sait plus réfléchir et agit comme un pantin, levant la tête lorsqu’on le lui demande, baissant la tête de même, dans une pantomime affligeante telle qu’on peut la voir sur tous les trottoirs où sévissent sur ordre les domestiques des pouvoirs, dressant des contraventions au droit de respirer, complices à terme des problèmes respiratoires que va rencontrer une grande partie des populations.

Mais le meurtre étant de rigueur au plus haut niveau, décrété par la sphère usuraire que les laquais, petit gominé, servent en reptation, il ne faut pas s’étonner que les larves traditionnelles bestialisent de concert, si de plus ils ont un petit grade, comme on le voit si bien dans ce marais de la subversion qui se nomme pompeusement l’éducation nationale, car n’oublions jamais, les petites larves sont plus dangereuses que les lombrics, ayant à prouver leur degré de servilité à leurs maîtres officiants, qui pour un strapontin, qui pour une écuelle, qui pour un pot de vin, qui pour une prime, n’est-ce pas !

Dans cette aporie et ce déni du réel, se régalent les repris de justice, qui assassin, qui pédophile, qui en affaires ou sans affaires, relâchés qu’ils sont par la tribu mosaïste de la subversion qui niche dans la justice comme un cancer rebutant qui pue la copulation avec le crime, mais il faut bien nourrir les incapables, ces infatués, notables et tutti quanti qui ne peuvent vivre qu’en jouissant du massacre des enfants qu’ils font enlever pour les mutiler dans leurs loges noires et répugnantes, où se retrouvent tous ces politiciens et politiciennes corrompue jusqu’à la moelle, toute la perversité humaine tenue par les ovaires ou les testicules, comme on le voit si bien aux États Unis dans ce que l’on ose appeler le parti démocrate qui est le parti des pédophiles par excellence.

L’Espagne de 1936 est là, en France par exemple, où on poignarde de sang-froid un homme, et où l’on voit son assassin relâché immédiatement dans l’attente d’un jugement qui ne viendra pas, où chaque jour que Dieu fait, le couteau des égorgeurs fait le bon travail que lui a dédié une gouvernance aux ordres, pour que le Peuple ait peur, que le Peuple soit non seulement terrorisé par le mensonge et la propagande insane sur le Covid, mais surtout qu’il tremble devant celles et ceux qui l’assassinent du matin au soir dans l’impunité la plus totale et totalitaire qui soit, car il faut que ce Peuple disparaisse au profit des esclaves à bas coûts, il faut qu’il accepte son euthanasie qui est devenue le sport favori de sa gouvernance, il faut qu’il se taise et se masque, qu’il oublie jusqu’à son nom, jusqu’à sa réalité pour se noyer dans le bourbier de l’inintelligence, de l’acculturation, de l’illettrisme qui préside cette Nation.

La gouvernance prend en otage les enfants, les masques dussent-ils périr d’asphyxie, sous la surveillance de la puanteur cadavérique qui les entoure dans les organes dits de formation, qui ne sont que des bestiaires d’illuminés de pacotilles qui vivent au crochet de l’état, dont le niveau intellectuel ne dépasse pas le niveau de la braguette,  leur camisole, une camisole de force où l’on voit luire le sadisme et la pédophilie associée qui sont les vertus du pouvoir en place. Tenant les enfants, ce pouvoir tient les parents qui n’osent se rebeller contre leur condition de vie qui se dégradent à la vitesse de la lumière, à la plus grande joie des argentiers qui sentent bon la chair esclave qui va venir, travailler pour un sou, servir de kleenex à leurs fantasmes et leur perversité, une manne qui pourra être tondue, liquidée comme bon leur semblera via la vaccination qu’ils déclinent, dont la puce fera office de numérotation non plus d’un Être Humain mais d’une carcasse à essorer économiquement et physiquement.

Le pire dans tout cela, c’est de voir les Peuples agir, par mimétisme, se conditionnant devant la voix de la propagande, incapable pour une part de sa réalité d’aller au-delà du dit, qui n’est que le mensonge névrotique, hystérique, invariable, prononcé, la faculté intellectuelle de cette partie étant totalement obérée, et déjà soumise. On comprendra l’engouement pour les animaux de cette faction d’individu qui n’étant plus ni homme, ni femme ont besoin d’assurer leur autorité sur un pauvre chien ou un pauvre chat, jusqu’à promener en laisse ce dernier animal. Ce conditionnement ahurissant, voyant non plus des êtres Humains en face de soi mais des larves la tête baissée, la queue entre les jambes, en dit bien plus sur le délabrement d’une société que tout autre indicateur.

Lorsqu’on voit cette écurie devenue, masquée dans les rues, pitoyable, sans réaction, sinon que celle de la terreur, on sait qu’il n’y a plus rien à attendre de cette boue devenue de cette partie du Peuple, groupement de bassets stériles, transgenres s’il en fallait n’ayant plus que leur queue où leurs orifices pour guide, des sous animaux qui ne cherchent en aucun cas à sortir de leur léthargie mais bien au contraire en redemandent, dans une culpabilité morbide, apprise, voyant jusqu’à certains de leurs caciques, notamment dans ce que l’on ose nommer l’écologie, découvrir politiquement leur volonté qui n’est celle que de la destruction de toutes valeurs humaines. On analysera avec juste mesure le profil morpho psychologique de ces « élus » de l’écologie pour découvrir ce qu’est le sommet de la bestialité, de la nécrose intellectuelle, de la bêtise institutionnalisée, payée par des apatrides multimilliardaires subversifs et aigris.

L’Histoire se souviendra de cette période comme celle de la lâcheté sous animale, de la bestialité la plus triviale. Fort heureusement le monde ne tourne pas autour d’un occident qui a été décomposé par la racaille atavique, par la puanteur jalouse ne cherchant qu’à désintégrer ce qu’elle est incapable de créer, car dans l’incapacité de créer quoi que ce soit, sinon que voler, violer, anéantir, dans une barbarie, une souillure de l’esprit que nos arrière-petits-enfants apprendront dans de vraies écoles où ils ne seront pas obligés de se masturber dès six ans devant leur instituteur ou instructrice pédophile, pour complaire aux organisations apatrides et lubriques dédiant leurs travaux à l’anomie la plus totale qui soit.

Cela sera car au regard du nombre, il faut bien comprendre que le moteur du nombre est l’exemplarité d’une partie de ce nombre qui guidera inévitablement vers l’inversion de cette caricature que nous vivons actuellement. Cet exemple est déjà montré au levant du soleil et on souhaite que son couchant soit bientôt de même, notamment aux USA où la clique pédophile démocrate doit être éliminée de tous les pouvoirs. Ne rêvons pas pour l’Europe, pauvre Europe souillée par la prêtrise de la boue par excellence, la maçonnerie déviante, les sectes avariées, les super loges manichéennes, fourrières du mondialisme esclavagiste le plus purulent que la terre ait connue. Cela prendra du temps, mais l’Humain a tout le temps contrairement au non humain, ce 0,001% ridicule qui connaîtra les bois de justice n’en doutons un seul instant, le crime étant par trop grand, comme on le voit actuellement à l’œuvre en Australie, en Nouvelle Zélande, en Angleterre, où les enfants sont enlevés à leur famille par la dictature de la bestialité.

Cette bestialité jouit pour l’instant, s’imaginant à l’abri de tout, hors la loi, protégée qu’elle est par les deniers volés aux Peuples, dont les commettants se cachent dans leurs conseils d’administration, s’imaginant eux aussi au-dessus des lois humaines, à telles fins qu’ils ont fait supprimer la peine de mort dans nombre de pays afin de prospérer dans leurs crimes abominables consistant à violer des enfants puis en récupérer le sang pour se nourrir de ce sang, dans une prédation anachronique et atavique qui sera jugée définitivement, lorsque les Peuples verront ce qu’ils sont, des parasites dont il convient de se séparer afin que l’Humanité puisse naître enfin à la Vie, et n’être plus exploitée par l’infamie, la corruption, la folie sanguinaire de despotes cannibales.

La lumière se fait de plus en plus vive sur leurs agissements, leurs courbettes, leur morgue, leur litière parfumée par le sang et la sueur humaine, désignant leur aréopage de sangsues accouplées, dont la hideur des traits correspond à leurs actes abominables, ces actes cautionnant la guerre, l’outrage, le génocide, dans un concert dont ce jour est apothéose, voyant leurs singes hurler dans toutes les organisations afin de faire accroire à une pandémie là où n’existe qu’une maladie nouvelle, une parmi des milliers qui nous viennent, afin que leurs laboratoires puissent inoculer leur poison, et leur permettre de récolter ces milliards qui ne leur serviront jamais à rien, la vie biologique humaine, malgré leur Trans humanisme de pacotille, ne pouvant rejoindre l’infini, ce Trans humanisme ne pouvant leur servir que de béquille, et on le comprendra, tant ils sont sans harmonie, ne reconnaissant que la matière dans ce monde, petits primitifs imbus de leur moi ayant le soi en horreur, le soi qui est la valeur suprême du moi dans le cadre de cette Vie terrestre.

Ces fétiches de l’inconscience perdent pied devant leur mise en avant sur la scène publique de ce qu’ils sont, et très vite réclament forte devise pour les journaux corrompus, les télévisions aux ordres, où ne devisent que des babouins uniformes, grotesques, corrompus, de la sous fiente servant les intérêts de cette barbarie infecte, ce dont on s’amuse car tout un chacun qui garde l’esprit critique trouvera ici un divertissement en écoutant ces demeurés gloser pour défendre leur pitance, défendre leur niche, se courber effrontément avec un ton doctoral, adipeux, répugnant, raclures immondes qu’ils sont d’un bestiaire inouï, parfaitement à l’image des politiciennes et des politiciens de ce jour, tenus par leurs affaires, leurs serments, leurs crimes, leurs loges puantes et sanguinaires, toute une noria qui n’est que toilettes accueillant toute la défécation de l’humain, dont la chasse d’eau devra bien être tirée un jour, tant leur puanteur devient grotesque.

Cette mise en avant des tenants et aboutissants de pouvoirs usurpés, volés, doit se poursuivre dans toutes les Nations corrompues par la sous bestialité qui se veut dominante, par la dénonciation totale des appartenances aux sectes, et insinuation totale de ces sectes, avec l’arme favorite de leur barbarie, l’hypocrisie, qui forment la colonne vertébrale de cette lie humaine qui ce jour n’a qu’un désir, voir disparaître 90 pour cent de l’humanité, et réduire le reste en esclavage à son service, au service de ce fameux 0,001 pour cent. Le renversement de ce 0,001% doit se produire et se produira inévitablement, toute dictature ne pouvant persister, quels que soient les moyens qu’elle utilise, l’Histoire Humaine le prouvant régulièrement, ainsi du national-socialisme, ainsi du communisme, ainsi donc de ce nazi communisme mondialiste esclavagiste qui parade ce jour, dans le meurtre, l’anéantissement de toutes les valeurs humaines, la sous bestialité la plus putride qui soit, une zoophilie répugnante qui prouve à quel point ce 0,001% n’a aucun mandat pour édicter la moindre loi en faveur de l’Humanité, de ses Races et de ses Peuples, car ignominie et pestilence anthropophage s’il fallait le démontrer.

Ce monceau d’immondice pour l’instant pavane, assuré qu’il est de se maintenir au pouvoir par la lâcheté induite dans les Peuples qu’il prétend diriger vers l’esclavage, toutefois la rémanence formelle des Peuples, qui est innée, et non acquise, commence à poindre, et déjà dans de nombreux Pays s’élèvent non seulement des voix naturelles qui se manifestent contre cette prétention anachronique, mais des voix qui viennent des milieux directement impliqués dans leur génocide provoquant, des réunions se font, des dépôts de plaintes se multiplient au Pénal, mais ils ne sont pas suffisants, il faut un dépôt de plainte général devant la cour Pénale Internationale au motif de ce génocide prononcé et effectué par les valets serviles de l’usure dans nombre de pays, un dépôt de plainte global assignant en justice les représentants de l’OMS, de l’ONU, du FMI, petite courroie de transmission de cette tentative de dictature imposée, assignant en justice les États qui se prêtent sans condition, dans une larvaire attitude, à ce génocide via décrets, une assignation globale qui permettrait de mettre en évidence la corruption généralisée, l’induction dictatoriale en préparation, la reptation des sous-fifres en gouvernance dans les pays incriminés, et leur mise en accusation pour crime contre l’Humanité.

Ce Nuremberg numéro deux aura lieu, et il déférera devant la Justice tout ce qui sert et a servi à la mise en place de ce génocide programmé, du plus petit officiant au plus visible impétrant, ici la maçonnerie doit avoir à cœur de ne pas protéger les assassins qui souillent ses rangs. Ce petit monde représentant une dizaine de millions de personnes sur toute la Terre, doit être jugé en place publique, la peine maximale e doit y être prononcée pour celles et ceux qui ont profité de cette tentative de mise en place d’une dictature mondialiste esclavagiste, pour tuer sans vergogne via décret ou petite main une partie fragile des populations, l’emprisonnement à vie pour celles et ceux qui ont laissé faire, étant partie de cette dictature, quant aux petites choses nuisibles, elles doivent être privées à jamais de toute possibilité de pratiquer, être déchues de leurs droits civiques. La réponse de l’Humanité doit être impitoyable et légale, aux féaux de cet anachronisme atavique qui tente de la détruire, et de la mettre en esclavage.

Gageons que ces loques qui n’ont même plus le nom d’humains vont se défendre bec et ongles dans de grands cris d’orfraie, voulant accentuer leur terreur, qu’elles le fassent ! Dès lors ce qui devra arriver arrivera et la Vie se défendra comme elle a toujours su se défendre face à l’adversité, fut-elle née de la terreur. La guerre fait partie de la Vie et la Vie saura faire la guerre à qui cherche à la détruire. Et ce ne seront les milices de ce 0,001% qui pourront contraindre sept milliards d’individus armés et responsables qui pour survivre se battront au service de la Vie. Cette solution est la dernière solution envisageable, elle ne sera pas mise en œuvre si et si seulement le contrepouvoir naturel des êtres Humains fait face à l’abomination instrumentalisée, diligentée par le chiendent de l’humanité, que nous vivons, mais pour cela il convient que chaque individu retrouve le sens de l’honneur et de la grandeur, le courage de dire et le courage de questionner, le courage d’analyser et le courage de faire face. Dans un monde idéal cela serait facile, dans ce monde lobotomisé par la subversion qui se veut séculaire, cela n’est pas gagné d’avance. Ainsi en attendant ce sursaut, courage et foi, et surtout, une hypocrisie monumentale, à l’image de celle que pratiquent les larves matérialistes qui se veulent dominantes. »

Fort heureusement, sur cette petite Terre, il existe des Nations qui prospèrent au-delà de ce vide abyssal de l’intelligence. On en viendrait à souhaiter que ces dernières Nations supplantent définitivement par une invasion programmée et soutenue les Nations ayant failli devant la Vie, lui préférant la mort et ses oripeaux, comme nous l’avons vécu sur de nombreuses planètes. À suivre donc…

© Vincent Thierry