Nouvel an

Nouvel an

 

Petites nouvelles de cette petite Terre située aux confins d’une galaxie qui n’est que l’ombre d’une poussière aux travers des immensités que nous scrutons depuis l’éternité, mais lisons :

« Mais voici donc l’an neuf sur la Terre, comme une page qui se tourne, comme une page vierge qui se tisse, et d’ombre comme de soleil s’éploient ses oriflammes par toutes aires embrasées que l’Aigle souverain scrute, avec l’intelligence des termes, avec la splendeur qui sied, tandis que s’agitent, frileusement les masques de ce temps pour croire encore à leur devise surannée, anachronique et sans avenir, et que les flots discontinus de la vie se rebellent contre une autorité vide, un devenir sans écrins, soufflant sur le château de cartes de l’immorale destinée où confluent les inconscients, ces nefs sans densité sinon celles de leurs instincts primaires, sanctuaires de l’acculturation et de l’illettrisme les menant vers la matière brute, bestiale, limon de l’indéfini qui roucoule par toutes les sphères pour s’imaginer vertu alors qu’elle n’est que venelle de la désintégration la plus abortive.

Le sens est perdu pour ces dérives en nombre qui, telles des pailles se tressent pour obéir à l’illicite, dans une prosternation au mensonge qui déglutie à chaque heure de la journée comme à chaque heure de la nuit, son poison frivole, son poison maudit qui serpente, tel un fléau, dans la cognition pour l’envenimer de ses résidus intellectuels qui charrient la propagande, la terreur, la moisson des naufrages qui se veulent maîtres de cette petite terre, et qui ne sont que des apprentis sorciers qui doivent s’effacer pour faire place enfin au réel et non à ses imageries sectaires qui suent la mort, le génocide, le meurtre, l’agonie tant de la raison que de l’imagination, un bestiaire où se réjouit la sottise métissée à la bêtise, une parure qui se montre dans tous ses apparats, ceux de l’extrême nucléarisation du vivant soumis à sa virtualité.

Ne cherchons de sève dans ce ferment des oripeaux qui se veulent maîtres à danser, maîtres à penser, maîtres de leur seule infortune, celle de la haine qu’ils ont d’eux-mêmes qu’ils transfèrent sur autrui en faisant accroire que la haine c’est autrui, et comment cela serait-il autrement, au regard de la désincarnation de leur réalité, un marais sanglant dans lequel ils se baignent avec leurs mots d’ordre sans lumière aucune, le marais de leur pitoyable personne dévouée au crime, à toutes les atrocités barbares qui les culminent, à l’irrespect de tout un chacun, jusqu’aux enfants dont ils se servent comme de torchon pour évacuer leurs déchets, jusqu’aux humains qu’ils éventrent à plaisir pour en récupérer les organes et les vendre au marché noir de leur souillure, bréviaire de vaste tradition de la nuit et de ses horreurs qu’ils illuminent de leurs fléaux.

Ces homoncules à l’esprit de ténèbres, sans tenir compte des lois de la Vie, s’enchantent de leur grotesque apparence, petits dictateurs incultes, petits rôles serviles qui n’entendent rien, ne voient rien, ne disent rien, que ce que certains veulent bien qu’ils voient, qu’ils entendent, qu’ils disent, prognathes dissociations de leur esprit atrophié qui manœuvre dans l’errance de leur semis, de leurs champs d’opium où se roule dans la fange tout ce qu’ils regardent pour recueillir une miette de leur soumission avide, complices, voici leurs drapeaux de hyènes cannibales qui dans un égrégore ignoble voudraient ponctuer le sort du vivant, en le marquant au fer rouge de la vivisection, de l’avortement, de l’euthanasie, pour défendre les privilèges de leurs mentors, ces ossatures issues du vol, du viol, du pillage, de la démesure de la barbarie la plus hautaine.

Une barbarie qui s’étoffe, se gonfle, outrecuidante, témoignant de la Race sans esprit de leurs auteurs, dévoués à la destruction de ces Races qui les gênent pour obtenir l’esclave parfait, et dans une parfaite inconscience livrant ce monde au multiracialisme, le métis parfait acceptant son esclavage, car sans racines, et sans histoires, du multiculturalisme, cultures qui ne s’additionnent et ne se multiplient mais se soustraient jusqu’à ne laisser à la culture que son linceul, le plus répugnant, métissage dont cette barbarie se garde bien entendu, raciste hors des lois du commun qui agréé sa propre race qui n’en est plus une depuis bien longtemps, au regard de la dépravation qui y règne, de cette agitation délirante qui est son règne, vestale de l’octroi de tuer l’Humain, par la guerre, par la liquidation physique ou tout simplement par le génocide.

Un génocide physique qui enfle, un génocide intellectuel qui devient démesure, un génocide spirituel qu’il n’y a plus lieu de conter, et ce en contravention totale avec les Lois internationales que compissent ces fourriers des charniers les plus révoltants que la Terre ait connus, le massacre des Catholiques depuis 1645 en Angleterre et ailleurs qui se poursuit imperturbablement ce jour, le massacre de l’intelligence depuis 1789 y compris l’assassinat systémique du Peuple, en France, le massacre des Boers en Afrique du Sud par les Anglais, le massacre du Peuple Russe à partir de 1917, le massacre du Peuple Chinois, le massacre des Arméniens, le massacre de l’intellect Européen par l’intermédiaire de deux guerres mondiales instrumentalisées, tous massacres phares du génocide le plus total que nous connaissons ce jour innervé par une guerre silencieuse qui ne dit pas son nom.

Une guerre qui est là, globale, totale, et avec laquelle il convient de prendre mesure, mesure de toute la léthargie, mesure de toute la soumission, mesure de toute la traîtrise, qui enrobe sa réalité, voyant des gouvernances laisser agir la terreur qu’elle instrumentalise sur des sols étrangers dans leur propre Nation, voyant l’ignominie chercher à conserver à tout prix un pouvoir qui lui échappe, par n’importe quels moyens, fussent l’assassinat collectif, le crime individuel, la propagande indicible, toutes vertus de la mort que manient avec tant de ferveur les extrémistes d’un navire qui prend l’eau de toute part, où contrairement à ce qu’ils pensaient, l’intelligence se redresse – car ainsi est la Vie, qu’elle ne se laisse défaire par les scories putrides -, les Peuples s’éveillent, et se réveillent du carcan les vouant à leur désintégration par culpabilisation et flagellation.

Ce nouvel an est donc en cette entière définition de cette guerre menée par de pseudos élites à leurs Peuples, une écume nauséeuse qui agite sa propre folie, sa propre monstruosité devant lesquelles tout un chacun devrait s’agenouiller et prêter serment, dans une mystique de boue qui s’appuie sur des concepts, des raisonnements abstraits, des idéologies blafardes, des chausse-trappes de la pensée, des atavismes spongieux et filiformes, des bestiaires lubriques qui épousent et enserrent le temps pour mieux en profiter, attendant de voir naître l’esclave parfait, l’esclave servile, sexuel et économique dont les satrapes pourront jouir jusqu’à ce qu’ils les fassent euthanasier suivant leur bon plaisir, car la guerre est là, de ces barbares en cols blancs agitant les barbares aux mains sanglantes, qui tels des golems, sont leur propre création.

Ici est le véritable tournant que doivent prendre les Peuples face à cette comédie sanglante, que de les voir se séparer des tenants et aboutissants de ces pouvoirs tenus par les fourbes, les incapables et les médiocres, petits valets serviles de quelques consortiums financiers et bancaires qui cachent dans leurs conseils d’administration le venin de cette errance que nous vivons, une errance si limpide au regard de l’autre face de ce monde qui se défait de cette glu en œuvrant pour la Vie et par la Vie et en la Vie, initiant ce que tout un chacun doit œuvrer sur son propre sol, l’élection de la capacité, la reprise en main totale de son autonomie financière, la réinsertion de la souveraineté, seuls obstacles permettant d’anéantir ici en notre lieu, les aréopages des commissaires politiques de type bolchevique qui osent faire croire qu’ils servent tant les Nations que l’Internation Européenne.

Faites de petits valets serviles, cette faune n’est pas là pour servir les Peuples mais bien pour les trahir, comme on le verra si bien lors de l’élection de 2017 en France où se présenteront, non pas deux partis politiques l’un en face de l’autre, sauf si le front de la Nation réussit sa percée, mais les valets de la fondation dite franco américaine qui sévit dans tous les pouvoirs de notre Pays aujourd’hui, faisant la politique des néo conservateurs états-uniens comme de la Fabian society afin d’instaurer le mondial socialisme, cette idéologie puante née du trotskisme international qui sévit avec tant de nauséabonde perfection sur notre aire occidentale, et ce depuis 1945, alimenté par ce que l’on a appelé le monde libre qui aujourd’hui n’est plus à l’Ouest mais bien à l’Est, Est qui a su se débarrasser du communisme triomphant ayant occasionné cent cinquante millions de victimes.

La bête rouge brune est là dans toute son horreur, dans toute son obséquiosité, dans toute sa morgue, sa haine multiforme qui se sert de tout un chacun pour se déverser dans chaque respire, dans chaque foyer afin d’y instiguer la peur, la terreur, qui voit la majorité se réfugier dans son carcan, comme un enfant inconscient entre les mains de ses prédateurs, la bête ignoble est là et elle tend ses oriflammes en déguisant la démocratie sous les voiles d’une dictature putride, en déguisant la République sous les voiles de son oligarchie répugnante, voyant tous les Peuples aveugles, au nom de ce qu’ils osent appeler la devise de la République, la Fraternité, inexistante, l’Égalité, inexistante, la Liberté réduite à peau de chagrin, les Peuples étant désormais considérés comme citoyens de troisième classe dans leur Patrie, au profit de l’exogène dans sa densité et ses particularités.

Le terrorisme est là dans son apothéose, sa virulence, sa détermination, sa glauque certitude, et il convient pour tout un chacun d’en prendre la mesure, cette mesure qui se révèle usurpation de tous les pouvoirs au profit du néant, de cette route vers le néant que forgent la destruction et ses féaux lubriques, ces inexistants au sens propre de l’intelligence qui ne sont que haine des Peuples, qui ne sont que haine des Traditions, qui ne sont que haine des Races Humaines, qui ne sont que haine de l’Humanité, une Humanité qu’ils veulent rendre servile à leur botte souillée du sang de leurs victimes, les bottes de l’atrophie qui sermonnent, les bottes de la déliquescence qui poudroient, les bottes de la subjugation à tout ce qui n’est pas la vie, et que la vie devrait adorer, jusqu’à disparaître pour leur complaire, bottes ineffables de la subversion qui se réjouit.

Les vœux se succèdent dans une litanie de confort qui ne reflète absolument pas le réel, voyant la terreur manipulée aux mains sanglantes informer sur la multiplication des attentats dans nos Nations, voyant pire encore le transfert d’armes se poursuivre à ceux qui tuent nos citoyens notamment en Afrique, voyant pire encore s’étaler avec complaisance la collusion existant au Moyen Orient avec les tueurs nés qui ne sont qu’une milice de pouvoirs en déraison, une collusion faisant voir la complicité de ces pouvoirs avec la destruction du Catholicisme, des minorités religieuses, et des Musulmans modérés dans cette région qui devient le charnier par excellence de la subversion, où le fait d’être Chrétien équivaut à la crucifixion, la décapitation, l’éviscération, et bien entendu la mise en esclavage comme denrée sexuelle que l’on liquide après usage.

Belle image de ce qui se passe dans nos Nations dites « civilisées » tombées sous le joug de la barbarie la plus glauque où les pédophiles s’en donnent à cœur joie dans le cadre des attouchements sexuels familiaux autorisés par la gouvernance, où le meurtre rituel est devenu le nec plus ultra de la débauche de sectes qui paradent dans toutes les Institutions, sectes qui ne lèvent pas le voile sur la disparition de quarante mille enfants dans notre Nation, prurits de la folie monstrueuse de celles et de ceux qui sont tenus par leur crime et qui obéissent au doigt et à l’œil aux ordres qui leur sont donnés faute de quoi leurs exactions seraient sur la place publique, belle image qui révèle ici que notre Occident n’a rien à voir avec ces litanies de la perversion, et qu’il est bien investi par la barbarie babylonienne qui n’a rien de nos racines et a été combattu par Sparte avec l’Esprit de victoire.

Cet Esprit doit revenir dans le cœur de nos Peuples, des Peuples en léthargies devant les mensonges les plus grotesques les uns que les autres, qui depuis la seconde guerre mondiale pullulent jusqu’à la nausée, masquant la tentative d’annihilation du Peuple Allemand par les bombes au phosphore, le viol et l’assassinat de presque deux millions de femmes sur le front de l’Est, et le génocide d’environ trois millions de soldats Allemands dans les camps de concentration des « alliés », le génocide du Peuple Français à la sortie de la guerre voyant plus de cent cinquante mille de nos citoyens passés par les armes et la torture la plus sanglante dans le joug des cachots communistes, et ne parlons même pas des autres Nations livrées à la folie criminelle de la subversion, dont Katyn fut un triste exemple, où l’intelligence Polonaise a été réduite à néant par les communistes.

Cet esprit doit chercher et comprendre les motivations profondes de cette sangsue qui immobilise la réalité au profit de sa virtualité, une sangsue cachant bien ses crimes et ses génocides sous une histoire réécrite, une histoire qui tombe petit à petit aux révélations des archives qui se font jour, et notamment sur la mise en œuvre de l’invasion de l’Europe par les communistes Russes prévue le 10 juillet 1941, cet esprit ne doit pas se laisser berner par les histoires à deux sous, les complaintes et les dérives sectaires qui ramènent tout à elles, et bien aller au fond des choses, pour comprendre quel est le degré de la manipulation qu’il subit depuis plus de deux siècles, à tout le moins dans notre Nation, et l’évacuer sans coup férir, pour enfin reprendre sa liberté de poser les vrais jugements d’existence et non de valeur qui manquent tant à notre ère perdue dans l’abîme.

Je ne le dirais jamais assez, avant de voter pour un quelconque candidat au pouvoir, il convient de s’assurer de sa probité intellectuelle, de son indépendance absolue vis-à-vis des sectes qui pourrissent ce jour les Institutions, et qui seront assimilées à la Loi de 1905 pour en défaire les miasmes de notre Nation lorsque le pouvoir du peuple sera reconquis légalement par le Peuple, par un vote définitif de salubrité publique, permettant de soigner ce corps gangrené par une infection totalitaire et bolchevique qu’est devenue notre Nation, cette analyse est nécessaire et arbitraire à toute autre chose, et cette analyse doit être individuelle et non collective, l’intelligence du collectif diminuant comme le carré de l’échantillon concerné, ce qui permet ici de voir à quel point la manipulation mentale, le viol de l’esprit par les partis, est parfaitement compris.

Lorsqu’on entend que ces gouvernances qui ne s’appartiennent pas vont résorber les maux de notre société, on ne peut que rire, en sachant que les Nations européennes de ce jour qui ont accepté le joug de cette « europe » sont tributaires des décisions des commissaires politiques bolcheviques qui y siègent, et qu’elles ne pourront ni lutter contre le chômage qui sert si bien les intérêts d’une classe dite de capitalistes totalement anachronique, ni lutter contre l’invasion de nos sols par toute la misère humaine, mieux servie que les Peuples de souches au regard du viol ethnique légiféré que représente cette invasion, ils ne peuvent rien les mains liées par leurs appartenances, par cette fourberie métissée par la traîtrise qui est leur propre reflet, et dès lors vendent des illusions, petits vendeurs à la sauvette qui défendent à cor et à cri leurs petits privilèges de naufrageurs.

Le Peuple est l’issue de ce problème, un Peuple qui se lève, déterminé, nettoyé des scories d’une «histoire » ridicule, le Peuple qui seulement dans la légalité affirmera son autorité, débarrassée des leurres qui l’enferrent, le Peuple en ses racines et sa destinée qui n’est ni celle du multiculturalisme, ni celle du multiracialisme, mais bien de son identité, une Identité qui est le préambule à toute innovation, à toute avancée, à toute probité, un Peuple uni aux autres Peuples de ses souches, les Peuples Européens qui ne doivent rien aux byzantins, aux babyloniens, à ces artefacts qui cherchent par tous les moyens à anéantir leur capacité créative, leur capacité de résistance, leur capacité cognitive, leur capacité d’indépendance, leur capacité intellectuelle, physique et  spirituelle, toutes capacités ce jour nivelées par ce qui est phasme.

Le phasme réducteur qui polie sa pierre brute dans l’oubli total du réel pour imposer sa virtualité dans le mensonge, la propagande, l’insidieuse perversion, la dénature la plus totale, cet embryon de la déliquescence qui veut naître cette chose inouïe, acceptante, larve qui avait autrefois le nom d’humain, sénile avant l’âge qui se regarde le nombril, nucléarisé à souhait, se levant et se baissant sous les mots d’ordre, comme on l’a si bien vu dans les attentats contre ce journal satirique, larve bestiale agréant au terrorisme au lieu de demander des comptes à des gouvernances indirectement complices par livraisons d’armes et aides sur le terrain, une larve stérile acclamant sa mise à mort dans la duplicité au nom d’une société dite permissive qui renvoie à la bestialité, son nectar le plus intime, la ferme des animaux par excellence de Orwell.

Je ne saurais dire à la jeunesse de ce jour de se cultiver au-delà des aberrations qu’on lui enseigne dans ce que l’on ose appeler l’ « éducation » «nationale » qui est le camp de concentration par excellence de l’intelligence, afin de voir au-delà des métriques composées qui cherchent à l’anéantir tant dans sa capacité cognitive que dans son esprit critique, œuvrées par des sbires à la solde de la subversion qui pullule dans cette dite éducation où il ne s’agit pas d’éduquer l’enfant mais bien de le prosterner à la symbolique la plus délirante qui soit, celle de son acceptation de tout ce qui est, de trouver « normal » le champ d’action de la subversion, de trouver «normal» qu’il disparaisse au profit de la fange, de trouver normal qu’il devienne l’objet économique de l’ordure et de ses féaux, quand il ne sera pas l’objet sexuel de cette déficience mentale.

À bien regarder, elle verra que la France ne vaut pas mieux que l’Allemagne de 1920 où la pédophilie était reine, et l’Espagne de 1936 où les fous et les assassins étaient relâchés pour mettre à feu et à sang cette Nation, jusqu’à l’empalement des cadavres des sœurs dans les cimetières, elle est dans l’abîme, et cet abîme se décore par l’historiette anémiée, la bêtise institutionnalisée, la propagande légalisée, ainsi, à l’heure où l’information circule à la vitesse de la lumière, la jeunesse doit chercher par elle-même et trouvera inévitablement les espaces culturels où elle pourra enfin apprendre les raisons mortifères qui la voient dans l’obligation de se prosterner à la bestialité et ainsi en son âme et conscience pourra-t-elle agir lorsqu’elle sera en âge de voter pour terrasser l’hydre belliqueuse qui soudoie toutes les institutions nationales et internationales sur ce versant de la Terre.

L’avenir appartient à la jeunesse et non à la race des cloportes et des médiocres, elle doit lui opposer la Race de l’intelligence sur tous les fronts, dépassant et se dépassant de toutes les limites abstraites qui ne sont là que pour freiner sa créativité, telles ces sciences ridicules portant sur un pseudo-réchauffement climatique qui n’est qu’une entreprise de racket international, telles ces sciences de la «matière» qui verrait l’Être Humain subordonné à la vitesse de la lumière, telles ces sciences que l’on qualifie pompeusement archéologiques qui sont le rempart aux mensonges et aux fumisteries les plus surannés, et ne parlons de l’art, où tout est à rebâtir pour en élaguer le miroir de la pédanterie la plus forcenée, le régime de l’étron roi devant lequel tout le monde devrait se prosterner, quand à la littérature n’en parlons même pas.

Ici les parents ont un rôle majeur à jouer pour déjouer les pièges de cette nullité de l’ « éducation », ce bréviaire de l’insolence et de la bestialité qui fourvoie les uns les autres afin de mieux les amener dans le réduit de l’ignorance, de l’acculturation et de l’illettrisme, viviers par excellence de l’esclave à venir, un esclave qui ne doit pas être au regard du vivant, qui est perpétuelle élévation et non désintégration, mais cela appelle à une modification de conscience qui n’est pas encore relevée, tant la bêtise est le privilège de la masse, une masse qu’il faut confondre par l’individualité, et non l’individualisme, reléguant le collectif à ce qu’il est, le néant absolu, car en tout l’un est complémentaire de l’autre, et en aucun cas soumis à l’autre, sinon que par les Lois qui permettent à une société de s’équilibrer et vivre dans l’élévation et pour l’élévation de chacun.

Où l’on voit ici que le carcan maçonnique imposé au pouvoir ne sert de rien, sinon que pour légitimer les fuites en avant de la désintégration, et cela est totalement naturel, car sans contre-pouvoir cette dérive sectaire ne peut servir les intérêts de l’Humain, et encore moins les intérêts de l’Humanité, toute dévouée est-elle à ses aberrations chimériques et en adoration devant ce qu’elle croit être la lumière alors que ce n’est que l’ombre la plus sordide, savoir l’instauration de sa dictature universelle, qui comme toute dictature doit être combattue jusque dans ses extrémités les plus intolérables, tels ses sommets, vouant la Vie humaine à la destruction, l’avortement obligatoire comme l’euthanasie obligatoire, ferments de toutes les dérives voyant disparaître rien que dans notre Nation plus de quatre cent mille personnes par an.

Les cartes sont battues et on les voit en pleine lumière ce jour de nouvel an, des pouvoirs androïdes qui cherchent à subvertir la réalité Humaine au profit de l’équation inhumaine qui les porte, le mondial socialisme et ses suppôts tyranniques, et sur l’autre face de la Terre, l’émergence de Peuples n’ayant pas baissé les bras devant la virtualité et  se dressant contre la subversion et ses féaux, le choix de demain pour celles et ceux qui défendent la Liberté n’est pas très difficile à faire, sauf à penser qu’ils soient compromis, faire en sorte que nos Nations sous le joug du bolchevisme trotskiste, se libèrent de cette prétention, et s’unissent aux forces vives de l’Humanité qui se déploient à l’Est, dans le cadre d’internations respectueuses des Nations qui les composent, bio géo historiquement constituées, et en aucun cas désintégrées par la boue qui veut les figer.

Le devenir de l’Histoire, avec un H majuscule, Humaine se joue ici, et cette année sera à ne s’y méprendre le jeu d’une confrontation sans égale, pas nécessairement militaire, qui aura pour but de terrasser l’hydre maladive qui depuis des siècles cherche à anéantir le vivant au profit de sa bestialité la plus ignorante sur l’Occident, que l’on se rassure, cette bestialité a perdu la bataille de l’information, de l’intelligence, de la culture, et elle est aux abois, à telles fins qu’elle cherche par tous les moyens à créer le parterre d’une dictature qui sera elle-même combattue dans la légalité la plus totale, et ce ne seront des millions de voix qui se dresseront contre son parjure actuellement, mais bien des milliards de voix demain, n’en déplaise à leurs vecteurs, leurs suppôts, leurs féaux, leurs valets en tous genres qui infectent les pouvoirs.

Les dés en Occident sont pipés, tout un chacun peut le voir désormais, ils sont pipés depuis plus de deux siècles en France, depuis 1945 en Europe, et ces dés ce jour ne peuvent plus être joués, sinon que pour rejoindre l’abstraction totale, ce que ne suivront pas les majorités des Peuples, laissant à leur venin les proscrits, jaloux et haineux, médiocres et envieux, de l’Histoire avec un H majuscule qui depuis des centaines d’années tentent d’imposer leur diktat, un diktat contre lequel tout un chacun doit désormais lutter intellectuellement, spirituellement, légalement, afin d’en anéantir les bestiales errances, la domesticité induite, l’outrance et l’obséquiosité qui en sont les oriflammes, et qui se cachent sous les haillons de la Démocratie qu’ils ont transformée en dictature,  et les haillons de la République qu’ils souillent par les voix de leur oligarchie vendue.

Nouvel an donc sur cette petite Terre, et je souhaiterais mes vœux ici à toutes mes lectrices et mes lecteurs, en espérant que cette année leur soit favorable pour s’éduquer le plus possible, sortir du carcan de la « pensée unique » qui est le grimoire des imbéciles, des dupes et des corrompus, des lâches et des serviles, attendus qu’ils trouveront tout sur la toile en matière de reportage, de livres, de films qui leur permettront de s’élever en conscience et mieux comprendre les problèmes de ce temps incertain, dont il ne faut pas avoir peur, le tragique faisant partie de la vie, mais qu’il faut confondre afin que se tarissent ses inepties, ses virtualités composites nées d’atrophies caractéristiques, lieu de tout un monde où l’Humain ne marche que sur deux vecteurs de sa personnalité et en aucun cas dans son processus évolutif, symbiotique par essence. »

Cette pauvre terre est voilée par l’ignorance et il est bien évident qu’il faudra beaucoup de persévérance à celles et ceux qui veulent passer de l’autre côté du miroir de cette ignorance, mais les temps sont mûrs pour cela, et nous ne doutons pas d’avoir des nouvelles bien meilleures cette année nouvelle sur la terre que celles des précédentes années.

© Vincent Thierry